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Ce sont les premiers mots du président des Etats-Unis, Barack Obama, qui a prononcé un discours au Caire, plus particulièrement destiné au monde arabo-musulman, qu’il a commencé sur la promesse « d’ouvrir une nouvelle page entre les USA et l’Islam », et qui a été applaudi à de nombreuses reprises par le public présent.
Les racines de Barack Hussein Obama sont profondément africaines et musulmanes. Sa famille paternelle est kényane depuis 12 générations et il a vécu sa tendre jeunesse dans le plus grand pays musulman au monde, l’Indonésie. Pour affirmer son attachement affectif avec cette partie du monde, le président Obama explique avec fierté qu’il dirige lui aussi un grand pays musulman de la planète, les Etats-Unis d’Amérique.
La plupart des commentaires sur la sortie faussement « surprenante » d’Avigdor Lieberman à Moscou, - selon laquelle Israël n’a pas d’intention ni d’intérêt exclusif à endosser le rôle de père fouettard pendant que le reste du monde s’en laverait les mains -, présentent ce discours comme « en retrait » par rapport aux précédents.
Ci-dessous des extraits d´une interview du candidat chiite libanais Ahmad Al-Assad, chef de l´Option libanaise pour le rassemblement, diffusée sur Future News TV le 21 avril 2009
Israël a déclaré jeudi espérer que le discours de Barack Obama ouvrira « une nouvelle ère de réconciliation » avec le monde musulman. Réagissant au discours du président américain au Caire, le gouvernement israélien a affirmé partager l’espoir d’Obama que son geste d’ouverture vis-à-vis du monde musulman sera « le début de la fin » d’un conflit et mènera à la reconnaissance générale d’Israël. L’Etat hébreu a également déclaré, en réponse, qu’il « fera tout ce qu’il peut » en faveur de la paix dans la région tout en préservant sa sécurité nationale
Israël a espéré jeudi une réconciliation avec le monde arabo-musulman après le discours de Barack Obama, tout en affirmant qu’il donnera priorité à sa sécurité dans le cadre d’un éventuel accord de paix.
Dans un discours au Caire, le président américain a expliqué que le «cycle de la méfiance» devait s’achever. Il a par ailleurs plaidé pour un Etat palestinien et le renforcement de l’éducation des femmes. Barack Obama est venu «chercher» au Caire un «nouveau départ entre les musulmans et les Etats-Unis». Dans son discours, censé apaiser les tensions entre le monde musulman et les Etats-Unis et faire tourner la page de l’ère Bush, le président américain a déclaré que le «cycle de la méfiance et de la discorde devait s’achever» et que le nouveau départ devait être fondé sur l’intérêt et le respect mutuels, «et sur cette vérité que l’Amérique et l’islam ne s’excluent pas».
The following is the full text of US President Barack Obama’s speech in Cairo :
I am honored to be in the timeless city of Cairo, and to be hosted by two remarkable institutions. For over a thousand years, al-Azhar has stood as a beacon of Islamic learning, and for over a century, Cairo University has been a source of Egypt’s advancement. Together, you represent the harmony between tradition and progress. I am grateful for your hospitality, and the hospitality of the people of Egypt. I am also proud to carry with me the goodwill of the American people, and a greeting of peace from Muslim communities in my country : assalaamu alaykum.
Un policier et trois membres du Hamas ont été tués jeudi lors d’une opération menée par les forces fidèles au président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas contre des éléments du Hamas en Cisjordanie. Il s’agit de la seconde opération en moins d’une semaine déclenchée sur ordre d’Abbas, qui s’est engagé auprès de Barack Obama à assurer la sécurité du territoire, conformément à la « feuille de route » sur le Proche-Orient mise au point en 2003.
L’armée israélienne a démantelé aujourd’hui le barrage routier de Bir Zeit, qui entravait considérablement les déplacements des Palestiniens en Cisjordanie. Cet apparent geste de bonne volonté intervient à la veille du très attendu discours du président américain Barack Obama au Caire sur les musulmans et le monde arabe.
La Maison Blanche a dit à une influente organisation juive vouloir résoudre « sans ressentiments ni ultimatums » les tensions actuelles avec le gouvernement israélien, d’une rare intensité, a indiqué mercredi l’organisation en question. Le Conseil juif pour les affaires publiques, qui se veut la voix de la communauté juive aux Etats-Unis, a rendu public un courriel de la Maison Blanche qui, selon lui, essaie de rassurer les organisations juives au moment où les relations entre les grands alliés américain et israélien traversent une période délicate.
Nicolas Sarkozy a condamné mercredi les propos de Mahmoud Ahmadinejad niant la Shoah. Il l’a fait à l’Elysée, devant le ministre iranien des Affaires étrangères, Manoucher Mottaki. C’était la première fois, depuis son élection en mai 2007, qu’un responsable iranien de haut rang était reçu au palais présidentiel.
Le président des Etats-Unis prononcera ce jeudi, à l’université du Caire, un discours historique de « réconciliation », particulièrement attendu par le monde arabo-musulman, qui compte 1,5 milliard de personnes, et par Jérusalem, avec une certaine anxiété.
Israël n’a pas l’intention de bombarder l’Iran, a déclaré mercredi son ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, alors que l’Etat hébreu s’est toujours réservé la possibilité de recourir à l’option militaire face aux ambitions nucléaires de Téhéran.
Fin 2008, les services de sécurité égyptiens ont révélé l’existence d’un réseau du Hezbollah opérant sur le sol égyptien. Immédiatement après le démantèlement, l’affaire a été étouffée et n’a bénéficié d’aucune couverture médiatique. Début Avril 2009, le gouvernement égyptien a décidé de rendre l’affaire publique, ainsi que les interrogatoires des membres du réseau et l’implication des activités du Hezbollah sur le sol égyptien.
Le quotidien londonien Al-Sharq Al-Awsat publie, le 27 mai 2009, un article intitulé « Le [Liban] deviendra-t-il l´Etat de Hassan Nasrallah ? ». Son auteur, le progressiste égyptien Dr Abdel Munim Saïd, est directeur du Centre Al-Ahram d´études stratégiques. Il écrit que bien que Nasrallah ait réussi à créer un Etat dans l´Etat au Liban, il ne sera pas capable de gouverner le pays, car les guides révolutionnaires comme lui ou Yasser Arafat ne sont pas en mesure de gouverner un Etat. Extraits :
Les Etats-Unis ont à faire face à l’une des plus graves crises de leur histoire. La faillite de la plus grande firme américaine, la Général Motors est là pour illustrer la profondeur et l’ampleur de cette crise. Les Etats-Unis ont choisi de porter à leur tête un dirigeant totalement inexpérimenté. Un pur produit du marketing politique. Pour occuper un emploi à responsabilité on exige un minimum d’expérience. Etre brillant à l’oral ne suffit pas. On ne confie jamais la direction d’une importante entreprise à une personne qui n’a pas fait la preuve de ses compétences, de ses aptitudes à diriger, à prendre les bonnes décisions. Un dirigeant d’une grande structure postule sur la base d’un bilan
La Russie et Israël ont mis l’accent mardi sur leurs bonnes relations bilatérales et minimisé leurs divergences, à l’occasion de la première visite à Moscou du nouveau chef de la diplomatie israélienne, l’ultra-nationaliste Avigdor Lieberman, un natif d’ex-URSS. « Depuis le début, nous considérons la Russie comme l’un des principaux partenaires, à la fois pour les questions régionales et le problème palestinien », a déclaré M. Lieberman lors d’une rencontre avec le président russe, Dmitri Medvedev, dans sa résidence à Barvikha, près de Moscou.
A quelques jours de sa venue en Normandie pour les commémorations du Débarquement, Barack Obama donnait sa première interview à un média français, où il évoque le Moyen-Orient et rend un hommage appuyé à Nicolas Sarkozy.
Lors d’une rencontre mardi soir, du ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, qui se trouve à Washington, avec le conseiller à la sécurité nationale, Jim Jones, Barack Obama s’est joint, de façon imprévue, à la réunion entre les deux hommes, geste qui a été interprété en Israël comme une volonté du président des Etats-Unis de dissiper l’actuelle tension entre les deux pays.
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