Ça recommence.
Voilà une contrée, le Nagorny-Karabakh, à qui on dit, depuis des années, que ses habitants sont en trop sur la terre qui les a vus grandir, qui a vu naître et mourir leurs ancêtres et à laquelle ils sont attachés.
Voici qu’une pluie de roquettes s’abat, un sale matin, sur les écoles, les hôpitaux, les églises de Khanabat, Kornidzor et, bien entendu, Stepanakert, la capitale.
On dénombre les morts (plus de 1 000).
Les blessés (près de 20 000).
Article mis en ligne le 3 octobre 2023