C’était une autre de ces images qui font instantanément le tour du monde. Une jeune palestinienne, hurlant son chagrin désespéré, pleurant son père, sa belle-mère et cinq frères et sœurs, morts, tués par une explosion sur la plage de Gaza. Puis vint le blâme du président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas (c’est un « modéré ») qui désigna aussitôt ces meurtres comme un acte de « génocide » israélien, et, pour dramatiser le crime, adopta légalement la fillette endeuillée.
La couverture sensationnelle et les accusations sensationnelles soulèvent la question évidente : Pourquoi les Israéliens bombardent-ils une famille paisible sur une plage ?
C’était une autre de ces images qui font instantanément le tour du monde. Une jeune palestinienne, hurlant son chagrin désespéré, pleurant son père, sa belle-mère et cinq frères et sœurs, morts, tués par une explosion sur la plage de Gaza. Puis vint le blâme du président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas (c’est un « modéré ») qui désigna aussitôt ces meurtres comme un acte de « génocide » israélien, et, pour dramatiser le crime, adopta légalement la fillette endeuillée.
La couverture sensationnelle et les accusations sensationnelles soulèvent la question évidente : Pourquoi les Israéliens bombardent-ils une famille paisible sur une plage ?