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Y revenir. Y revenir encore. Avec une conviction, une intuition, presque une promesse : Sarah Halimi est morte, oui et dans d’atroces conditions, mais, en dépit d’un arrêt de la Cour de cassation, l’affaire Halimi, elle, ne l’est pas.
Depuis cet arrêt, un sentiment d’injustice gagne.
Comment est-ce possible après que la plus haute juridiction française ait dit son dernier mot, par son arrêt confirmatif de l’irresponsabilité de l’auteur ? Après que l’un des plus hauts magistrats de France, François Molins, Procureur général près la Cour de cassation, ait publiquement affirmé que le droit français n’offrait aucune possibilité de juger cet homme et qu’il ne s’agit que de l’application stricte de la loi pénale ?
Après 1935 jours de captivité, le jeune otage franco-israélien Gilad Shalit devrait être libéré. Il est heureux que la langue française soit assez riche pour permettre un emploi qui traduise tout à la fois l’espoir, l’impatience et la crainte car il « devrait être libéré » mais n’est pas encore libre. Depuis que j’ai été investi avec Pierre-François Veil de la mission de le défendre en France, je désespérais de voir un jour la mention « Gilad libéré » remplacer « Liberté pour Gilad » sous les portraits du jeune homme qui sont apposés dans différents lieux publics de notre pays.
LireIl y a dans une gloire soudaine quelque chose de suspect. C’est vrai du gagnant d’un jeu de téléréalité dont le nom sitôt connu sera oublié ; ça l’est d’avantage encore des lauriers tardifs qui sont venus combler Stéphane Hessel à l’âge de 93 ans. La biographie de l’intéressé et la lecture fugace – il ne peut en être autrement – d’ « indignez-vous ! », son dernier opus, mettent en évidence un « malentendu Hessel »
LireDès lors que l’on traite d’Israël, l’insignifiant devient rapidement un événement. En l’occurrence, il a suffit que le Conseil de Paris, à l’initiative de Bertrand Delanoë, décide de dénommer une allée de la capitale, David Ben Gourion, pour qu’une violente campagne de contestation d’Israël toute entière fondée sur le ressentiment, la haine et l’ignorance prospère. Que n’a-t-on pas entendu sous les fenêtres de l’Hôtel de ville : Ben Gourion assassin ! Ben Gourion, un assassin ? Voilà un bien sale tour joué à l’histoire en général et au personnage en question en particulier
LireQuel est le rapport entre Georges Frêche, le sionisme et la garde à vue ? Aucun, du moins c’est ce que je croyais en venant présenter mon petit livre noir sur la garde à vue sur le plateau de Franz Olivier Giesbert à l’occasion de son émission « Vous aurez le dernier mot » diffusée ce soir sur France 2
LireDans une affaire criminelle, le verdict conclut normalement les débats. S’agissant de l’affaire Halimi jugée avec une publicité restreinte, il a au contraire marqué l’ouverture d’un débat qui n’en finit pas de grandir.
Cette situation a atteint son paroxysme depuis que la garde des sceaux a donné instruction au parquet général de faire appel de la décision prononcée le 10 juillet par la cour d’assises de Paris. Que n’a-t-on pas dit ou écrit sur cette démarche ? Que la ministre avait cédé à des intérêts particuliers, voire à des « lobbys », que la vengeance populaire avait pris le pas sur la justice rendue au nom du peuple, que le pouvoir exécutif avait empiété sur le pouvoir judiciaire...
L’histoire est facétieuse. Quel observateur, même le plus averti, aurait pu prédire qu’un jour viendrait où un gouvernement israélien dirigé par l’ex-général Ariel Sharon apposerait des panneaux mentionnant en hébreu et en anglais à l’intention de ses concitoyens : « Stop ! Selon la loi il est interdit d’entrer dans la bande de Gaza et d’y séjourner » ?
LireDébusquer le fléau derrière les alibis favoriserait, entre autres, l’émancipation de jeunes Français issus de l’immigration.
LireL’altermondialisme représente un espoir et une forme nouvelle de mobilisation politique pour toute notre génération. C’est parce que nous y sommes attachés que nous tenons à dénoncer un danger latent que nous voyons se développer en marge de ses rangs : la détestation des juifs, autrement dit l’antisémitisme.
L’altermondialisme en tant que tel n’est évidemment pas suspect. Ses buts sont humanistes et nous y souscrivons. S’il est fautif d’une chose c’est de se croire immunisé.
Dimanche 28 octobre, dans le 13e arrondissement de Marseille, on a brûlé une école juive. Dans la cour de récréation, on a creusé des trous, dans lesquels on a caché des clous, pour que les enfants s’y blessent en jouant. Sur les murs, on a inscrit trois mots : « Mort aux juifs. » Qu’ont pu éprouver ces enfants quand, le lundi matin, ils ont découvert qu’on voulait les tuer ? Sans doute une impression comparable à celle que ressentit Albert Cohen, un matin de 1905, à Marseille précisément : « »Mort aux juifs« . Ainsi disait la bonne inscription devant laquelle je savais que ma vie était perdue. Le savoir à dix ans, c’est trop tôt. Toujours juif, jamais aimé. Mon héréditaire errance avait commencé. »
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