Une grande partie de la responsabilité de la catastrophe revient au chef de l’AMAN, le général Aharon Haliva.
Pensant aveuglément que le Hamas était dissuadé, il a ignoré les avertissements – y compris un document interne, et s’est appuyé sur le big data et l’IA, alors qu’il lui aurait fallu penser comme un djihadiste.
Dans son bureau au 13ᵉ étage à Kirya, se faisait-il des illusions sur les intentions du Hamas ? L’une des principales raisons évoquées est la tendance des hauts responsables du renseignement de la génération actuelle – y compris Haliva – à fonder l’essentiel de leur travail sur des technologies avancées : Intelligence artificielle et big data, addiction de hauts fonctionnaires à la technologie de pointe.
Nouvelles révélations sur l’échec du renseignement militaire, AMAN
israelmagazine.co.il
Article mis en ligne le 4 janvier 2024