Alors que semblent disparus les moments de joie, alors que l’être juif en viendrait à se cacher, apparaît dans son dépouillement le plus pur, Arthur Teboul.
Hier soir je suis allé à l’auditorium de la Seine Musicale écouter Arthur Teboul chanter, accompagné de Jean-Baptiste Trotignon au piano. Une voix, dix doigts, la Grâce.
Nous pensions être des oubliés de Dieu, mis de côté par l’absence d’esprit, exposés à la fournaise d’Israël.