La cyberattaque d’Europol contre les sites jihadistes a perturbé des opérations du renseignement français
Zone Miltaire
Article mis en ligne le 5 décembre 2019
Le 25 novembre, l’Office européen de police [EUROPOL] se félicitait d’avoir mené à bien une cyberattaque massive ayant permis de désactiver 26.000 comptes, sites et canaux utilisés par la mouvance jihadiste pour faire sa propagande. Même l’agence Amaq, qui relaie les messages de l’État islamique [EI ou Daesh] avait été affectée.
L’opération d’Europol, conduite avec le soutien du procureur fédéral belge, s’était notamment concentrée sur l’application de messagerie chiffrée Telegram, très prisée des jihadistes.