L’implication de l’Iran et du Hezbollah dans la répression en Syrie justifie la fin de « l’axe dit de résistance » dès le renversement d’Assad. L’opposition met en garde contre un massacre collectif à Homs
Stefano B.C. (Rome) | MediArabe.info
Article mis en ligne le 10 décembre 2011
Le président du Conseil national syrien (CNS), Burhan Ghalioune, a annoncé que l’une des priorités de l’opposition, après le renversement du régime syrien, sera de mettre un terme à l’alliance entre Damas, Téhéran, le Hezbollah et le Hamas. Aujourd’hui, en apprenant que 120 combattants du Hezbollah et 40 Pasdaran iraniens ont trouvé la mort en Syrie, on comprend les raisons qui justifient l’annonce du CNS.