Cinq réflexions en marge de la tragédie de Nice
Jacques Tarnero
Article mis en ligne le 24 juillet 2016
Quatre vingt quatre morts, assassinés à Nice, qui avaient eu le tort de regarder le feu d’artifice un soir du quatorze juillet. Quatre morts à Tel Aviv qui avaient le tort d’être israéliens et Juifs, assassinés à la terrasse d’un restaurant spécialisé dans le chocolat. Cinquante mitraillés à Orlando qui avaient le tort d’aller dans une boite gay. Un commissaire de police et sa femme qui avait le tort d’être policiers, poignardés en région parisienne. Autant de crimes commis au nom d’un islam pensé par l’Etat islamique.