Yom HaChoa * est passé avec son cortège de désespoir, de douleur ravivée, de sentiment d’impuissance et sa sirène qui pendant trois minutes déchire le cerveau et le cœur.
Yom HaZikaron* le souvenir des personnes tombées en Israël à cause de la guerre ou du terrorisme, est passé, avec sa douleur, ses larmes et ses cimetières.
Yom Hatsmaout, le jour de l’indépendance est passé avec son explosion de joie et de feux d’artifice. Cette année une double fête puisqu’on fêtait aussi le centenaire de Tel-Aviv, la première ville israélienne, la ville qui ne dort jamais, la ville blanche.

Une semaine de douleur qui tombe entre Pessah, la fête qui célèbre notre liberté et Yom Hatsmaout, la fête de notre indépendance.

Chaque année c'est le même scénario, chaque année la même douleur qui ne passe jamais, chaque année ces sirènes, tout Israël qui s'immobilise, chacun la tête baissée et les bras collés droits le long du corps. Tout cela fait partie de notre vie, d'une année sur l'autre nous attendons ces moments pour honorer nos morts, ensemble, un peuple entier uni qui se tient idéalement la main et pleure au son des sirènes. Cela n’existe qu’en Israël.

Le monde pour une fois nous regarde avec curiosité et non avec la haine habituelle. Peut-être ne comprennent-ils pas cette fusion totale dans une douleur commune et unique de notre peuple. Peut-être, à cause de la frénésie de la vie moderne, ils ne comprennent pas toutes ces voitures immobilisées sur l'autoroute, dans le silence absolu qui accompagne le déchirement des sirènes, avec les gens aux garde-à-vous et la tête baissée près des portières ouvertes.

Il y a tant de choses que le monde ne comprend pas à notre sujet et c'est pour cela que la haine est si forte.

On ne comprend pas l'amour qu’on porte à notre terre.

On ne comprend pas la signification de notre armée populaire.

On ne comprend pas que nos fils aillent combattre non pas par amour de la guerre mais pour défendre la maison.

On ne comprend pas que les Palestiniens ne veulent pas un pays à eux mais rêvent seulement de voler le notre.

Un monde ennemi qui permet à une délégation iranienne à Genève de hurler « nazisioniste » a Elie Wiesel, dont je parle non pas parce qu'il a reçu le prix Nobel de la paix, d'autres aussi ont reçu ce prix honorifique, qui est devenu un déshonneur depuis que de sales personnages comme Arafat l'ont reçu. Elie Wiesel est connu pour sa stature morale, pour ses livres, pour son expérience dans les camps de la mort quand il avait seulement 13 ans. Et un grand dignitaire iranien a pu hurler « nazisioniste » sans être dérangé et sous les applaudissements de ses compagnons, sans que personne ne fasse rien pour le faire taire.

Voir l'expression stupéfaite d'Elie Wiesel sur son visage blanc entre les plaisanteries, les insultes et les sobriquets des néonazis Iraniens, m'a rappelé l'image de ce vieux Juif du Ghetto de Varsovie, à genoux, bastonné par des nazis,  avec une expression sur le visage non pas de douleur mais de surprise. C'est sans doute la raison pour laquelle quand j'ai vu le film, un hoquet s'est échappé de ma poitrine qui ressemblait à un cri.

En somme rien ne change, les célébrations de notre histoire désespérée ne changent pas, la haine des gens ne change pas, les mensonges ne changent pas et ne change pas non plus la propagande qui s'abreuve à Pallywood, l'usine de mensonges palestiniens, jamais fatiguée, jamais rassasiée, jamais à court d'argent.

Ce même argent qui sert aussi aux juifs traîtres de leur peuple.

Aujourd'hui, dans le Jerusalem Post un article accuse d'antisémitisme le Pr Robinson, un professeur juif de l'Université de Californie qui, pour passer le temps et peut-être faire plaisir à ceux qui le payent, a envoyé un e-mail à ses étudiants accusant Israël d'être un État nazi. Ugo Volli en parle longuement et magnifiquement dans sa rubrique « papier d'Eurabia » sur le site Informazionecorretta, donc je ne vais pas répéter cette histoire mais je poserai encore une fois la question que je pose toujours : pourquoi ?

Cette bande sait que ce n'est pas vrai, ces Robinson, Chomski, Hass, Gideon Levi, Ilan Pappe, Norman Finkelstein,  Daniel Baremboim, cette bande de traîtres aura vu des photos ou des films sur le ghetto de Varsovie, aura entendu le témoignage de quelque parent survivant et ne peut pas ne pas comprendre la différence qu'il y a entre une guerre et une extermination génocidaire.

Ils ne peuvent pas ne pas savoir, tout le monde a vu des documentaires sur les ghettos d'Europe, sur les camps de la mort, sur le destin des juifs d'Europe.

Alors pourquoi ?

Cette bande ne peut pas ne pas savoir qu'elle est en train de mentir effrontément !

Et alors pourquoi ?

Les habitants de Gaza sont prisonniers du Hamas, les Palestiniens en général sont prisonniers de leurs dirigeants qui les maintiennent dans des camps de réfugiés pour pouvoir mieux les convaincre que l'ennemi c’est Israël et non pas eux, les chefs, les patrons de mafia, les dictateurs.

Cette bande doit arrêter de faire plaisir à ses compagnons antisémites en accusant Israël et en parlant de Gaza comme « d'un grand camp de concentration ».

Quel camp ? quelle concentration ?

Ils ont tout, Israël leur fournit gratuitement tous les biens malgré le jet continu de missiles. Le Hamas réquisitionne ces biens pour les revendre aux habitants. Est-ce qu'il ne serait pas temps de le crier haut et fort ? Est-ce qu'il ne serait pas temps de répéter à l'infini que le Hamas a pris le pouvoir par un coup d'état en tuant des centaines de palestiniens d'autres factions ?

Cette bande doit cesser de parler d'un génocide des Palestiniens !

Quel génocide ?

Selon l'Office palestinien des Statistiques, la croissance annuelle des Palestiniens est trois fois supérieure à celle du reste du monde. Entre 1997 et 2007 la bande palestinienne a augmenté de 40 %.

Quel génocide ! ! !

Depuis 1948 le nombre des Palestiniens a été multiplié par 10 !

Cette bande doit arrêter de dire qu'Israël pratique l'apartheid !

Quel apartheid ?

Les Arabes Israéliens font parti de notre vie, vivent comme nous, fréquentent nos cinémas, nos théâtres, nos piscines, nos écoles, nos universités, sont présents au Parlement et à la Cour Suprême.

Quel apartheid ?

Déjà qu'avec la visite du Pape, nous faisons quelques comptes sur les chrétiens qui vivent dans ces régions :

Les chrétiens de Bethléem en 1990, représentait 60 % de la bande, aujourd'hui après 19 ans, ils n'en représentent plus que 9 %.

Ils ont tous fui ! Et l'église ne proteste pas !

En Israël, en 1948 il y avait 34 000 chrétiens et aujourd'hui, on en compte 140 000 malgré leur peur du terrorisme palestinien.

Et pour rester dans l'ambiance des minorités, parlons donc des Bahaï qui ont un merveilleux temple sur le Mont Carmel à Haïfa, temple protégé par l'Unesco pour sa beauté.

Israël est le seul pays de tout le Moyen-Orient dans lequel les Bahaï peuvent vivre tranquillement, respecter et pratiquer leur religion.

Je voudrais dire aux différents Pr Robinson juifs, et à leurs compagnons antisémites, juifs et non juifs, que raconter des mensonges et diffamer une démocratie contrainte à la guerre par ses voisins, cela paye peut-être sur une courte période mais j'espère que quand ils se réveilleront de leur haine cathartique, ils seront rongés par le remord pour le reste de leur vie et seront payés en retour par le mépris de leurs enfants.

Pour le moment que la honte tombe sur leurs têtes vides.