La cérémonie de cette année, qui sera préenregistrée sans public, inclura des soldats, du personnel médical et des civils qui ont sauvé des vies lors des massacres du Hamas
Cette année, la cérémonie de Yom HaAtsmaout, le jour de l’indépendance d’Israël, prendra un format particulier pour tenir compte de la guerre en cours contre les terroristes palestiniens du Hamas et de la douleur qui règne à travers le pays depuis les massacres perpétrés par la branche palestinienne des Frères musulmans le 7 octobre alors qu’elle retient toujours, aidée de complices civils, 133 otages, – dont beaucoup ne sont plus en vie.
Lors d’une conférence de presse, Miri Regev, la ministre des Transports qui est chargée des cérémonies d’État, a indiqué « qu’il n’y aurait pas de célébrations cette année comme l’an dernier. Il est en effet difficile pour nous de faire la fête alors que la guerre fait rage et que 133 otages sont toujours aux mains du Hamas ».