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En déposant un dossier auprès du secrétaire général de l’ONU pour attribuer à la « Palestine » le statut d’État-membre de l’organisation internationale, Mahmoud Abbas a franchi plusieurs lignes rouges. D’abord il s’est opposé de front à l’administration américaine, risquant de la contraindre à apposer seule un veto à sa demande et à apparaître comme le soutien unique d’Israël, une situation cauchemardesque pour Barack Obama ; or, depuis les tournants de 1988 puis d’Oslo, les dirigeants palestiniens ont toujours tenu à préserver le capital de bienveillance de l’Oncle Sam à leur endroit.
LireEn mars 2011, dans le sillage des « printemps arabes », des incidents survenus dans de grande villes syriennes ont dégénéré en affrontements violents et prolongés entre l’armée et des « rebelles », impliquant bientôt les armes lourdes et l’aviation. Une guerre civile est désormais à l’œuvre qui touche quasiment tout le territoire et toutes les catégories sociales et ethniques du pays, dont 10% vivent désormais à l’étranger, dans les camps de réfugiés des pays limitrophes.
LireLe président Obama ne croit plus à une paix négociée entre Israéliens et Palestiniens à brève échéance. C’est le principal enseignement de sa visite de Mars dernier en Israël. Il a rétrogradé la question du « processus de paix » dans l’échelle de ses priorités, laissant cet os à ronger à son secrétaire du Département d’état, John Kerry, et à l’Europe. De nombreuses évidences l’ont poussé à cette conclusion : la montée dantesque des périls dans les pays environnants (Iran, Syrie, Égypte), la division abyssale entre Palestiniens de Gaza et des anciennes Judée et Samarie, le refus persistant des « modérés » de Ramallah d’accepter non pas une offre de paix (2000, 2001, 2008), mais même une simple négociation.
LireRefusant une position européenne commune d’abstention sur la résolution visant à créer à l’ONU un Etat palestinien observateur, François Hollande a préféré la division de l’Europe et le soutien à l’initiative de Mahmoud Abbas dont le résultat le plus certain sera une paralysie durable de toute négociation israélo-palestinienne.
LireLa visite du premier ministre israélien aurait pu être un évènement diplomatique tout à fait banal, mais François Hollande a voulu en faire autre chose. Netanyahou se proposait sans doute d’évoquer à Paris deux grandes questions : l’armement nucléaire imminent de l’Iran, et la demande palestinienne d’un état observateur à l’ONU. Chacun de ces thèmes est plus complexe qu’on ne le croit. La nucléarisation de l’Iran, a été fermement dénoncée par François Hollande comme une menace non pas locale, mais planétaire. « L’arme nucléaire, si elle était possédée, maitrisée par l’Iran, ne serait pas simplement une menace par rapport à Israël, mais une menace par rapport à l’ensemble de la région et aussi par rapport au monde. »
LirePeu nombreux et dispersé, l’électorat juif français conserve cependant un certain attrait pour les candidats en lice à la présidentielle. Il donne un certificat de « moralement correct » à ceux qui recueillent ses suffrages. Mitterrand s’en était bien servi. En mal de dynamique politique une fois dissipé le« rêve » qu’il avait su distiller en 1981, il put neutraliser ses adversaires de droite en leur lançant dans les jambes le Front National de Jean-Marie Le Pen, présenté comme la réincarnation du péril nazi. L’électorat juif se réjouit beaucoup, croyant identifier grâce à la martingale du président un vrai ami et un vrai ennemi.
LireImaginez qu’à la faveur d’une circonstance quelconque 1027 membres de la Gestapo ou de la SS aient été collectivement élargis de leur prison et renvoyés en Allemagne. Que ce serait-il passé ? Ils auraient été accueillis dans un silence funèbre. Sans doute l’Allemagne aurait même réincarcéré ces criminels et ouvert des procédures judicaires spécifiques pour les punir à son tour. Pour tous, ces ressortissants seraient une honte nationale, un cauchemar justifiant l’opprobre universel envers le peuple allemand.
LireQuand la « communauté internationale » parle du futur État palestinien, elle utilise invariablement une formule qui fait l’unanimité ou presque : « un État palestinien vivant en paix aux cotés d’Israël » . La question que se posent aujourd’hui les autorités israéliennes, la seule, c’est de savoir si les Palestiniens qui demandent aujourd’hui à l’ONU de reconnaître leur État (Mahmoud Abbas appuyé par le Fatah, mais non par le Hamas) désirent vraiment ce fameux État vivant en paix aux côtés d’Israël.
LireCe bulletin a pour but de contribuer à votre information à travers des nouvelles et des commentaires originaux. Il présente un « autre regard », sur des questions controversées qui concernent nécessairement le citoyen car, à nos portes, le Proche Orient connait des bouleversements de portée historique, vous le savez bien.
LireVoici en avant-première cette très bonne analyse de Jean-Pierre Bensimon qui est une excellente synthèse des problèmes engendrés par le choix palestinien de faire appel à l’ONU, cet article est tiré du N°4 de « Pour un autre regard » à paraître dans quelques jours
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