La décision de construire une barrière de sécurité fait partie de la lutte contre le terrorisme. Il s’agit là d’un moyen passif supplémentaire pour empêcher les terroristes palestiniens d’atteindre les civils israéliens. Il n’est question ni de frontière, ni de barrière définitive.
LE SEGMENT MURAL Le long de la barrière de sécurité il existe un mur de béton, mais il ne mesure que
7 kilomètres sur les 170 ! et il est construit sur le territoire israélien !
Ce mur est édifié sur 3 tronçons. Le (...)
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Zvili Nissim
ambassadeur d’Israë l en France
Articles
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La Barrière de Sécurité
9 octobre 2003 -
Israë l-Palestine, au-delà des illusions
21 décembre 2003Les Palestiniens continuent de piétiner dans le terrorisme. Et ce, malgré les apparences. On pourrait croire que le Djihad et le Hamas ont cessé de lancer leurs attaques, or il n’en est rien. Depuis octobre, une vingtaine d’attentats suicides auraient pu être perpétrés en Israë l, ils ont été déjoués.
Dans les médias internationaux, lorsqu’un attentat ne réussit pas, on n’en parle pas. Pourtant les Israéliens sont loin d’être tranquilles. Le calme apparent est superficiel : il n’est pas dà » à une (...) -
L’ambassadeur d’Israë l, à l’IEP de Lille et au musée de la Résistance de Bondues, évoque la situation au Proche-Orient
3 février 2004L’intervention de Nissim Zvili a été organisée en partenariat et à l’initiative de l’UEJF Lille. Ainsi, après avoir organisé à l’EDHEC (école de commerce) une rencontre avec trois étudiants israéliens sous le thème "Avoir 20 ans en Israë l"
" Encore combien de temps, combien de sang ? "
Ils n’étaient pas nés lorsqu’éclata la guerre des Six Jours (en 1967) et a fortiori pas là , lorsque l’ONU décida la partition de la Cisjordanie en deux Etats, l’un juif, l’autre arabe. Et pourtant, on aurait pu entendre (...) -
Les Occidentaux considèrent-ils qu’il y a deux sortes de victimes du terrorisme ? Madrid-Ashdod, même combat
26 mars 2004Qu’après le 11 septembre 2001 le président des Etats-Unis déclare vouloir Ben Laden « mort ou vif », que les troupes pakistanaises pourchassent depuis trois semaines Al-Zaouahri ; pour rappeler des souvenirs plus lointains, qu’après les attentats de l’été 1995 à Paris, la gendarmerie française tue Khaled Kelkal, personne n’y voit d’objection, les diplomaties n’y trouvent nul motif d’indignation, de réprobation, ni même de « trouble ».
Qu’en revanche, après des centaines d’attentats commis en trois (...) -
Sombre période, mais les chemins du possible sont ouverts
20 novembre 2004http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-387856,0.html Le Proche-Orient se trouve aujourd’hui à un tournant. Il est possible de secouer le marasme dans lequel la région se trouve depuis quelques générations, d’entrouvrir des portes et laisser se profiler de nouvelles perspectives d’avenir.
Les décisions politiques prises en Israë l par Ariel Sharon ont souvent été minimisées en Europe, non appréciées à leur juste valeur, voire totalement dépréciées. Les préjugés ont masqué la (...) -
La Palestine, le conflit avec l’État hébreu et les déchirures franco-israéliennes. La brute et l’opprimé
11 janvier 2005Je me souviens, lors d’une rencontre franco-israélienne entre journalistes, cette année à Paris, des échanges entre deux reporters de télévision : l’une Française, l’autre Israélienne, chacune filmant dans les territoires palestiniens et en Israë l les mêmes choses, mais avec un récit si différent !
Car selon que l’objectif « zoome » sur une zone ou fait un grand angle sur l’ensemble, selon que l’on tend le micro à une partie ou à plusieurs, selon que l’on cherche ce qu’il y a derrière ou non, la (...) -
L’autre moitié du problème
29 avril 2005L’assassinat de Rafic Hariri, qui a déclenché le retrait syrien, a réveillé les consciences sur un fait : l’inféodation du Liban à la Syrie. Mais cela ne doit pas occulter l’autre moitié du problème : la liberté du Liban est aussi bafouée par le Hezbollah et son mentor iranien. Entre la Syrie et l’Iran, le Liban est véritablement pris en étau. Et l’on ne peut raisonnablement envisager de résoudre le cas libanais en ne traitant qu’une moitié du problème.
Unis contre Israë l pour déstabiliser la (...) -
Communiqué de Son Excellence M. Nissim Zvili,Â
17 août 2005Israë l est en train de vivre une période difficile et douloureuse. La tension est grande, palpable un peu partout dans le pays, alors que nous sommes entrés de plain pied dans le processus du désengagement.
Ce désengagement est une décision israélienne, prise bien sà »r démocratiquement, mais aussi sereinement et pour bâtir l’avenir. Mettre en Å“uvre le plan de retrait n’est pas battre en retraite. Le retrait israélien de la bande de Gaza et du nord de la Samarie doit s’entendre au contraire comme (...) -
Israë l-Palestine : quel rôle pour la France ?
18 août 2005La tension est grande en Israë l et dans les territoires palestiniens avec la mise en Å“uvre du plan de désengagement. C’est dans ce contexte, malgré des événements qui requièrent chaque jour sa présence, que le premier ministre israélien a répondu positivement à l’invitation du président français. Pourquoi être venu à ce moment ? Pourquoi cette rencontre était-elle si importante ?
Ces dernières années ont vu une amélioration substantielle des relations entre la France et Israë l. La rencontre entre (...) -
Après le premier pas de Gaza
9 septembre 2005La négociation et les échanges de territoires sont seuls à même de venir à bout de ce conflit. On ne fera pas l’économie de ce processus
Israël a mené avec détermination le plan de désengagement, faisant fi des tentatives par les extrémistes de s’arroger le retrait israélien comme étant leur victoire. Les manifestations ostensibles des groupes extrémistes et militaristes, Hamas, Jihad islamique et Brigades des martyrs Al-Aqsa en tête, ont détourné la joie naturelle de nombreux Palestiniens en une (...)