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Shraga Blum | le P’tit Hebdo
mercredi 11 novembre 2020
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Si l’on pensait que la gauche israélienne avait atteint les bas-fonds du sens moral, la journée de mardi aura montré qu’elle est capable de creuser encore davantage en profondeur. Durant quatre ans et en dépit des évidences, elle a exprimé une haine irrationnelle envers le président américain Donald Trump. Elle a décoché ses flèches les plus empoisonnées à son encontre, le qualifiant de « fou », « déséquilibré », « corrompu », « va-t-en-guerre », « dangereux », « raciste » quand ce n’était pas « fasciste ». Un président américain, qui il faut le rappeler, a pris des décisions historiques sans précédent en faveur d’Israël, s’est dressé contre l’Iran et a réalisé avec Binyamin Netanyahou ce que cette même gauche prétend attendre depuis tant d‘années : la paix avec des pays arabes.