L’arrivée au mémorial de la déportation française a quelquechose de prenant. Situé au sommet d’une butte, en bordure de route près dumoshav de Neve Michaël, le site apparaît imposant.
Dans une belle région d’Israël, constituée de champs de culture et de charmantspaysages, la forêt de Roglit dégage une atmosphère douce et paisible, à l’écartdes tumultes de la ville.
Ce qui attire l’oeil immédiatement, c’est ce grand bandeau en pierre incurvé,surplombant la butte, qui s’étend sur 35 mètres de longueur et 4 mètres dehaut, avec les inscriptions en noir et lettres capitales « Mémorial desdéportés juifs de France ».
Roglit, l’histoire d’un mémorial
Jerusalem Post Edition Francaise
Article mis en ligne le 23 janvier 2020