Le BNVCA déçu et inquiet apprend sans aucune surprise cependant, la décision de la Juge d’Instruction chargée de l’assassinat de Sarah Halimi qui, se substituant à l’avocat de l’assassin a réclamé une contre expertise psychiatrique qui contredit le premier examen et conclut que la volonté du criminel antjuif était abolie au moment des faits.
Depuis le début, le BNVCA a perdu toute illusion de voir l’assassin, voisin de la victime, sanctionné pour le crime antijuif qu’il a commis en toute connaissance de cause, selon nous, le 24 avril 2017 à Paris 20 eme.
Pour le BNVCA, Sarah Halimi n’aurait jamais du mourir. La façon dont l’instruction est conduite nous surprend à plus d’un titre.
Assassinat de Sarah Halimi Le BNVCA apprend sans surprise le résultat de l’expertise qui conclut à l’rresponsabilité pénale du meurtrier antisémite.
Le Président Sammy Ghozlan
Article mis en ligne le 12 juillet 2018