Un mardi où le froid que l’on dit sibérien était le seul sujet de conversation. Où c’étaient les vacances. Dans deux jours nous serions en mars.
Hier en Israël une cérémonie eut lieu pour les onze mois de la mort de Sarah Halimi. Organisée par des courageux. Des opiniâtres. Le BNVCA. D’autres.
Pas en France bien sûr. Dans ce pays où une juge décréta qu’il était scandaleux que tant de media parlassent de l’Affaire Sarah Halimi. Dans Paris où une Magistrate en charge du dossier fit durer le plaisir. Fit la pluie et le beau temps. Discourtoise avec les avocats en charge de l’affaire. Menant l’un à interroger récemment sur le sens d’un tel mépris : elle n’avait pas même le respect de la robe, écrivit-il. Abus de pouvoir, ajoutais-je bien sûr à tort.
Sarah Halimi : pourquoi si tard ? Comme à regret ..
Tribune Juive | Sarah cattan
Article mis en ligne le 2 mars 2018