Ségolène Royal frôle le faux-pas diplomatique à Beyrouth
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters
Article mis en ligne le 3 décembre 2006
« Je n’ai pas entendu cette comparaison et si cette comparaison avait été faite, que ce soit moi ou que ce soit l’ambassadeur de France qui était à mes côtés et qui n’a pas non plus entendu ces propos, nous aurions quitté la salle ». C’est en ces termes que Ségolène Royal a expliqué à la presse, lors du troisième jour de sa visite au Liban, sa réaction face à un député du Hezbollah qui a comparé l’occupation israélienne du Liban au « nazisme ».