Jusqu’à ce jour, Har Hadar symbolisait une certaine coexistence entre Arabes et Juifs. Ce paisible village de 4 000 habitants est installé sur un mont historique et stratégique, le plus haut de la région de Jérusalem.
Dans un décor pastoral, il est entouré de kibboutzim et d’hôtels touristiques et surplombe le célèbre village israélien-arabe d’Abou Gosh, où existe une communauté de moines au sein de l’Abbaye Sainte-Marie de la Résurrection.
Har Hadar est une « implantation » atypique non loin de la « ligne verte », où vivent notamment d’anciens militaires et des diplomates, dont certains sont même étrangers, et des observateurs de l’ONU.
Les Palestiniens refusent toute coexistence
Freddy Eytan | Le Cape
Article mis en ligne le 27 septembre 2017