La conférence que donnera le 12 janvier 2017 Maître Goldnadel, dont la réputation n’est plus à faire, sur le « boycott d’Israël », et les mots ne sont pas vains, même si les boycotteurs prétendre ne viser « que les colonies », est incontournable. De par l’importance du sujet, car il s’agit bien, en effet, de tenter d’étrangler l’État hébreu économiquement, mais pas seulement, car ce boycott est multiforme. Mais aussi de par sa proximité avec un second volet d’une tentative de mettre Israël au banc des nations, sauf à accepter de se retirer sur des lignes indéfendables et suicidaires, celle de 67, hors de toute « colonie » donc. La scandaleuse résolution 2334 aura été le premier acte, la conférence dite de paix de Paris en sera sans doute le second.

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