[Le pape Benoît XVI] a mis en doute publiquement la capacité d’adaptation (de l’islam) à une société pluraliste ... et il a pris ses distances avec le programme de dialogue inter-religieux des moines franciscains d’Assise. Il a fait sien le point de vue des modérés et conservateurs italiens qui estiment que le dialogue inter-religieux doit avoir pour principe directeur la reciprocità. Il a par exemple trouvé naïf que soit permise à Rome, la construction d’une mosquée financée par des capitaux saoudiens, - la plus grande d’Europe -, alors que les pays musulmans interdisent la construction d’églises et de missions ». — Christopher Caldwell, Financial Times.
Le Vatican se Soumet à l’Islam (2006-2016)
Giulio Meotti | Gatestone Institute
Article mis en ligne le 20 octobre 2016