En près de 20 ans d’existence, le Centre Natal a répondu aux sollicitations de 210 000 personnes.
Imaginez une bouteille thermos qui tombe à terre : le verre est brisé à l’intérieur, mais vu de l’extérieur tout semble intact », explique Orly Gal, directrice exécutive de Natal, le Centre israélien de traumatologie pour les victimes de la guerre et de la terreur. « C’est la même chose avec la souffrance psychologique des victimes d’attentats. On ne peut pas deviner ce par quoi elles passent. Nous appelons cela “la blessure transparente”, parce qu’elle est invisible. Il est ainsi souvent très difficile pour les personnes affectées de prouver qu’elles souffrent de syndrome post-traumatique. »
Aider les victimes des attentats, telle est la mission du Centre Natal
Jerusalem Post Edition Française
Article mis en ligne le 25 août 2016