Les gouvernements successifs ont construit un piège ; les Français, qui sont en lui, ne savent comment s’en échapper. La situation est plus grave que beaucoup imaginent. Des zones entières du pays sont sous le contrôle de gangs et d’imams radicaux.
Le Premier ministre Manuel Valls a répété ce qu’il a déjà dit il y a dix-huit mois : « La France est en guerre ». Il a nommé un ennemi, « l’islamisme radical », mais il n’a pas tardé à ajouter que « l’islamisme radical » n’a « rien à voir avec l’Islam ». Il a ensuite répété ce qu’il a souligné à maintes reprises : les Français devront s’habituer à vivre avec « la violence et les attaques terroristes ».
France : Après la troisième attaque djihadiste
Guy Millière | Gatestone Institute
Article mis en ligne le 7 août 2016