Il est difficile de croire que le parti autrefois dirigé par le premier ministre Tony Blair, qui a épaulé le président Bush dans la guerre contre le terrorisme et combattu l’expansion des mouvements islamistes est maintenant structuré et dirigé par un homme qui a voté contre l’inscription d’Al Qaeda sur la liste des organisations terroristes.
L’idée qu’un Califat totalitaire unique puisse apporter démocratie et stabilité, sans parler des droits civiques et politiques, aux citoyens d’un Moyen Orient de plus en plus fracturé, corrompu et instable relève d’une rêverie enfantine qui a largué les amarres de la logique.
Grande Bretagne : le Parti Travailliste, Sanctuaire des Racistes ?
Robbie Travers | Gatestone Institute
Article mis en ligne le 5 juillet 2016