L’un des slogans de Gatestone Institute est « vous ne trouverez pas ça dans les grands médias, mais nous ne sommes pas un grand média ». Ce qui résume tout : présidé par l’Ambassadeur John Bolton, dirigé par Nina Rosenwald, Naomi H. Perlman et d’autres personnalités, ce « think tank indépendant et à but non lucratif », également « organisme de conseil en politique internationale...s’est donné pour mission d’instruire le grand public sur des thèmes que les grands médias » n’abordent généralement pas." Et le fait grâce à d’excellents journalistes. Ses articles sont publiés en plusieurs langues et une version française existe aujourd’hui.
Les grands thèmes abordés par Gatestone Institute, rarement développés bien que cruciaux, sont centrés autour des « Institutions de la démocratie et l’État de droit, droits de l’Homme, économie libérale forte, défense pouvant assurer la paix sur le territoire national et dans le monde libre, indépendance énergétique, menaces pesant sur libertés individuelles, indépendance nationale et liberté d’expression » http://fr.gatestoneinstitute.org/about/. Son Président, l’Ambassadeur John R. Bolton, alors qu’il représentait activement les États-Unis aux Nations unies œuvra notamment avec succès pour que soit abrogée la scélérate déclaration onusienne mettant sur pied d’égalité Sionisme et racisme. Sa Directrice générale et fondatrice, Nina Rosenwald, est une militante des droits de l’homme connue qui soutient les droits des minorités et des femmes et dont l’action est globale. Elle siège également au conseil d’administration d’organisations comme Middle East Forum ou CAMERA.
Ce qui explique que les sujets traités par Gatestone Institute sont très divers et ne se limitent pas au monde juif, même si Israël et les communautés juives ont une place importante dans ses travaux. D’excellents journalistes locaux, trop rarement publiés ou repris par de grands médias, écrivent des articles toujours percutants pour l’Institut. Ils sont publiés ou adaptés en plusieurs langues et le sont depuis peu en français.
Ainsi peut-on souvent lire Khaled Abu Toameh, journaliste primé, qui, depuis Jérusalem, décrit la réalité palestinienne sans fard, apportant une masse d’informations peu connues. Il dénonce les dirigeants palestiniens et leurs manipulations, leur utilisation de la torture financée, in fine, par l’Europe et les États-Unis. Ou montre l’ignorance, parfois cocasse, mais aussi la partialité dont font trop souvent preuve les correspondants ou journalistes en mission en Israël.
Parmi les autres grands sujets traités sans concessions et pour n’en citer que quelques uns : les conséquences des vagues migratoires dans des pays comme l’Allemagne ou la Suède, l’islamisation de la Grande-Bretagne, avec un relevé frappant, mois par mois, pour l’année 2015, celle de l’Allemagne ou de la France, les réalités de ce qui se joue en Turquie, le sort des chrétiens d’Orient et, bien sûr, la République Islamique d’Iran, ses violations flagrantes et nombreuses des droits de l’homme ainsi que les dangers que pose sa politique d’exportation du terrorisme.
On retrouvera aussi des journalistes et auteurs comme Guy Millière parmi d’autres qu’il faut entendre aujourd’hui. On peut aisément s’abonner depuis leur site à leur liste de diffusion qui est gratuite.