Depuis des siècles, le Christianisme a promu l’idée que les Juifs étaient l’illustration même du mal absolu, parce qu’ils étaient supposés être responsables du meurtre de Jésus. Avec la laïcisation croissante, les perceptions de la malfaisance globale ont progressivement changées, en même temps que le rôle supposé des Juifs selon de telles qualifications. Pour les Nazis se considérant comme des surhommes, les Juifs étaient par définition des sous-homme, de la vermine et des bactéries, la version nazie ultime du mal absolu. Le nazisme, en retour, est devenu l’étalon du comportement démoniaque après la Seconde Guerre Mondiale.
L’Imposture taxant le Sionisme de « colonialiste » et « impérialiste » ©
Par Manfred Gerstenfeld et Jamie Berk | Adaptation : Marc Brzustowski.
Article mis en ligne le 5 mars 2016