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propos recueillis par Benjamin Barthe Gershon Baskin, directeur d’un centre d’analyse israélo-palestinien, face à Gerald Steinberg, politologue israélien
vendredi 16 juin 2006
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A l’heure où la rivalité entre le Fatah et le Hamas embrase les territoires palestiniens, la question du dialogue avec les islamistes resurgit. D’autant que le référendum du 26 juillet, voulu par Mahmoud Abbas, a pour enjeu la reconnaissance d’Israël.
Le triomphe électoral des islamistes du Hamas lors des législatives du 25 janvier a pris les autorités israéliennes par surprise. Personne n’avait prévu que le Fatah, le parti historique de Yasser Arafat, subirait une telle correction. Dans la foulée de ce séisme, Ehud Olmert, alors Premier ministre par intérim, décidait de rompre les maigres liens encore maintenus avec l’Autorité palestinienne. La communauté internationale lui emboîtait le pas. Ce boycottage, qui pénalise avant tout la population, est-il pertinent ? Deux Israéliens - Gerald Steinberg, un universitaire classé à droite, et Gershon Baskin, un chercheur de gauche - ouvrent le débat.