Ali Saad Dawabsheh (18 mois) brûlé vif dans l’incendie de sa maison le 31/07/2015
Les médias français en ont parlé
La mort d’un enfant, quelle que soit sa religion, sa nationalité ou bien même la couleur de sa peau reste et demeure un phénomène psychologique affligeant au caractère atroce et dramatique. Mais que dire, si cela même se discrédite de plus en plus, si tout cesse de se révéler exact, sinon l’erreur, l’aveuglement et surtout le mensonge. Un enfant palestinien assassiné est un crime abject. Un enfant israélien assassiné est un autre crime abject et honteux au même titre que le premier. Mais il n’y a pas un enfant dont la mort doit être surmédiatisée parce qu’il est né dans le camp palestinien.
Deux poids, deux mesures.
Par Alain Karsenty
Article mis en ligne le 5 août 2015