Quelques journaux ont relevé les extraits du recueil de 240 pages de « témoignages de soldats » de Tsahal, concernant la guerre de l’an dernier à Gaza. Mais ils n’ont déposé aucune plainte auprès de leurs supérieurs sur des problèmes de comportement éthique en situation de combat – répercutant plutôt de la médisance à propos d’incidents invérifiables. Ils ont ainsi brisé leur crédibilité et non le silence, malgré le sigle de l’organisation qui les téléguide et qui se trouve financépar des porganismes ayant des liens avérés avec des groupes terroristes comme le FPLP. Le Washington Post a juste publié quelques fragments de ce qu’on peut avoir besoin de savoir à ce propos, selon ce qui suit :