![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Richard Rossin
samedi 1er février 2014
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
Avec le temps, des rapports souvent très documentés et intelligents s’empilent. C’est le destin des rapports d’experts, ils finissent par recouvrir le fond des problèmes le réduisant à un bruissement. Restent les fondamentaux généraux appliqués à la situation iranienne. La prise du pouvoir lors des révolutions ne revient pas à ceux qui la font mais aux forces organisées toujours opportunistes. Après la révolte du bazar à Téhéran en 1979, on a vu, par haine du Shah, des intellectuels fondamentalement anti-théocratiques occidentaux applaudir l’arrivée de Khomeiny. Ils choisirent, dans les courants d’un détroit de Messine, entre Caribe et Scylla. Giscard et Carter ont, innocemment ou non, facilité ce changement du régime iranien.