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Film iranien mettant en scène le meurtre d’un négationniste français
MEMRI
Article mis en ligne le 8 novembre 2005

Avec nos remerciements aux autorités de diffusion iraniennes à Beyrouth, à la télévision Al-Manar du Hezbollah à Beyrouth, aux ministre libanais de la Défense, de la Sécurité générale et de l’Intérieur. (1)

Le 28 octobre 2005, la télévision iranienne Sahar a diffusé un film intitulé « Holo Causte ». Les personnages s’expriment en français, en anglais et en arabe. Le film, qui met en scène des négationnistes persécutés, a été produit par Sahar TV et filmé au Liban.

Ci-dessous, les liens vers les extraits vidéos et des passages traduits des trois premiers films de la série. De nouveaux extraits vidéos seront diffusés par MEMRI TV dans le courant de la semaine

1ère partie : Les théories du négationniste Dr David Bardash

VISIONNER LE CLIP n° 902 sur www.memritv.org <http://www.memritv.org/>

On aperçoit en arrière plan des séquences d’archives d’Hitler et de scènes de guerre

Voix du Dr David Bardash (en français) : "Pour créer des légendes, les hommes ont deux talents particuliers : la création et la croyance.

En pleine guerre, ces deux talents se traduisent par le mensonge médiatique et la crédulité de l’opinion publique, ce qui crée au fur et à mesure des légendes acceptées comme vérités historiques indéniables. Le mythe des chambres à gaz et des fours crématoires de Hitler, appelé « Holocauste », en est un exemple.

Lorsque, en temps de guerre, les Alliés ont vu les scènes déplorables et choquantes de certains camps de concentration, et les images des nombreux prisonniers morts du typhus et de la famine, l’hypothèse de l’existence des chambres à gaz, qui était déjà évoquée, s’est imposée encore une fois à l’opinion publique. Et les cérémonies de commémoration de l’Holocauste ont vu le jour.

En tant qu’écrivain et historien, et après des années de recherche, me référant à des documents indéniables, j’ai constaté que pas une seule chambre à gaz n’a existé dans aucun camp de concentration. J’ajoute que je possède des documents prouvant cette réalité, à savoir : les chambres à gaz ne sont que des mythes et des légendes."

2ème partie : des agents israéliens assassinent le négationniste français

VISIONNER LE CLIP n° 903 sur www.memritv.org <http://www.memritv.org/>

Le Dr Bardash est assis à son ordinateur et le texte suivant apparaît, en anglais mal orthographié, sur son écran :

« Ecoute-moi bien, Porc ? Bâtard ? Raciste ? Traître ? Profite bien de ton dernier souffle. »

Raccord sur une visite guidée du musée de l’Holocauste

Guide : "Vous avez deviné juste. Cette pièce est appelée ’salle de bain’ ou ’douche commune’, mais les victimes ne connaissaient rien à ce système. Elles pensaient qu’elles allaient prendre une douche chaude, mais recevaient à la place un jet de gaz mortel et en quelques minutes, des centaines d’hommes et de femmes trouvaient la mort. D’après le tribunal des crimes de guerre de Nuremberg, ces chambres à gaz servaient aux assassins d’Hitler exterminer la race juive.

A présent, voulez-vous bien poursuivre la visite du musée ?« Le disciple de David Bardash reste dans la pièce ; il regarde puis photographie une pancarte où l’on peut lire : »La chambre à gaz équipée en salle de bains n’a jamais été utilisée et les prisonniers condamnés à mourir au gaz étaient déplacés vers l’Est."

Raccord sur la résidence de David Bardash, où ce dernier prend une douche. Bardash s’assoit alors à son ordinateur pour travailler à son livre. Un tireur d’élite, situé dans un immeuble voisin, l’a dans son viseur.

Agent du Mossad (en français) : "Laisse-le tomber. Occupe-toi de tes affaires.

Tireur d’élite : De là, je pourrais facilement lui éclater le cerveau.

Agent du Mossad : Attends. Il ne reste qu’un peu [de temps].

Tireur d’élite : Il écrit de nouvelles fables."

Extraits de l’ouvrage de Bardash (en français)
 : "Dans les dernières heures de la guerre, le typhus faisait rage dans les camps de concentration des nazis et prenait ses victimes parmi les prisonniers et leurs geôliers. Cela était un grand défi auquel étaient en butte les commandants de ces camps. Les responsables de la santé dans ces camps ont proposé deux solutions :

Premièrement, la désinfection des vêtements et des effets personnels des prisonniers avec du gaz Zyklon B, pour se débarrasser des poux qui étaient la principale cause de cette maladie pandémique. Avant la guerre, ce gaz était beaucoup utilisé pour empêcher les tissus produits en Allemagne d’être dévorés par les mites.

Deuxièmement, la crémation des cadavres des malades pour empêcher la propagation de la maladie. La crémation se faisait dans des lieux couverts, c’est-à-dire dans les chambres. Or on a créé ces fours, qui s’appelleraient pus tard fours crématoires, ce qui a été exploité par les médias des milieux juifs.

Et ce qui est plus intéressant, c’est qu’il a été considéré par le tribunal de Nuremberg comme un document solide des crimes de guerre, et ce alors que la plupart des pays européens, comme la France et l’Allemagne, avaient déjà créé de tels fours dans les alentours de leurs grandes villes pour lutter contre la peste et le typhus dont on voit toujours des vestiges dans les banlieues de Paris et de Londres."

Le résultat des recherches de Bardash parvient par fax au bureau du journal Al-Mufakkar (?) Deux agents du Mossad font irruption dans la résidence de Dr David Bardash, qui a branché sa webcam et transmet les images à la journaliste Marie, du journal.

Bardash (en français) : « Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? »

Marie observe la scène tandis que l’un des agents étrangle Bardash. L’agent s’aperçoit ensuite que la scène a été filmée, débranche la webcam et emporte avec lui l’ordinateur de Bardash.

3ème partie : un informaticien aide les agents israéliens à localiser les témoins.

VISIONNER LE CLIP n° 903 sur www.memritv.org <http://www.memritv.org/>

Un informaticien juif est assis devant son ordinateur. Les agents du Mossad sonnent à la porte.

Informaticien juif : « OK ? OK ? Arrêtez, au nom de Dieu. Retenez-vous ? Ah, c’est vous. »

Les deux agents du Mossad font leur entrée, présentant le portable de Bardash à l’informaticien

Informaticien : "Qu’est-ce qui se passe ?

Premier agent : Je veux que vous me trouviez qui habite à cette adresse.

Informaticien : Maintenant ?

Premier agent : Maintenant, immédiatement !

Informaticien : Mais tout est ?

Premier agent : Pas de « mais ». J’ai de sérieux problèmes et j’ai besoin de ton aide.

Informaticien : Très bien, je vais vous trouver ça. [Il pianote sur le portable.] Je l’ai trouvé !"

Raccord sur la journaliste Marie, au bureau du journal.

Informaticien : "Il est peut-être en train de graver les données.

Premier agent : Arrêtez-le !"

Pendant ce temps, dans les locaux du journal Al-Mufakkar, la journaliste Marie grave sur un CD les images enregistrées par l’ordinateur de Bardash.

Informaticien : "C’est fini.

Premier agent : Non, ce n’est pas encore fini.

Informaticien : Mais j’ai effacé toutes les informations enregistrées sur son disque dur.

Premier agent : Je sais.« Marie prend une expression horrifiée tandis que le message suivant apparaît sur son écran d’ordinateur : »Cher ami, si un seul mot s’échappe de votre bouche ou de celle de qui que ce soit d’autre, cela signifiera que vous ne tenez pas à votre vie ni à celle de vos proches ?« Informaticien : »J’ai fait de mon mieux, mais il est possible qu’il ait recopié l’information sur un disque.

Deuxième agent :
Et par-dessus le marché, c’est un témoin oculaire.

Premier agent : Exact ? Pour l’heure, en tout cas.

Deuxième agent : Je pense que nous devons faire un rapport.

Premier agent : Personne ne t’a demandé ton avis. Personne ne doit être mis au courant, c’est compris ?"

L’agent tend une liasse de billets à l’informaticien, qui s’empresse de l’empocher.

Informaticien : « D’accord. »

Raccord sur Marie, allongée sur son lit, qui contemple un tableau du Christ en se remémorant les images du meurtre de Bardash.

Une voiture s’arrête à la hauteur de la résidence de Marie et les agents du Mossad en descendent. Ils font irruption dans la maison et tirent sur l’un de ses habitants. Ils montent les escaliers à pas de loup, en direction de la chambre de Marie. Au moment où la poignée de la porte pivote et où la porte de sa chambre s’entrouvre dans un grincement, Marie se réveille. C’était un cauchemar.

Clara Bardana, reporter de la chaîne télévisée CNA (en français) : "Voici le domicile du Dr David, chercheur, écrivain et historien français, devenu l’une des figures les plus célèbres de ces dernières années en raison de ses déclarations acerbes et provocantes qui ont fait l’objet d’une polémique au sujet de fausses assertions relatives à l’existence des chambres à gaz et des fours crématoires en Allemagne.

Il y a quelques heures, Dr David se fait tuer dans sa demeure située dans les anciens quartiers parisiens. Dr Bardash a été jugé, à deux reprises, dans les tribunaux français, pour avoir diminué l’importance des crimes commis par Hitler et pour avoir dénoncé certaines personnes et certaines religions. Toutefois, il a réussi à obtenir son acquittement.

Les propos du Dr David sont accompagnés de réactions violentes dans les sociétés juives. Selon les paroles du Dr David, il a été menacé de mort plusieurs fois. Pour cette raison, certains auteurs présument qu’il a été la victime de ses adversaires. Des responsables du gouvernement israélien ont rapidement dénié toute implication de leur part quant à la mort du Dr David. Ils ont référé cet accident à certains pays arabes désireux de nuire à la réputation des Juifs et d’Israël au sein de l’opinion publique."



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