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Fortement marqués par l’affaire al-Dura, Philippe Karsenty et Charles Enderlin auraient pu se croiser à Montréal...
Hélène Keller-Lind
Article mis en ligne le 27 novembre 2013

Les hasards du calendrier de ce mois de novembre 2013 ont fait que les chemins de Philippe Karsenty, en tournée vérité en Amérique du Nord, et de Charles Enderlin, en tournée présentation de son dernier ouvrage « Au nom du temple », une vision messianique d’Israël, auraient pu se croiser...chacun s’adressant à des auditeurs très différents, ne dialoguant même pas par public interposé, ce qui aurait pu se faire à la synagogue Petah Tikva, mais ne s’est pas fait compte tenu, finalement, de l’agenda du correspondant de France 2 et Radio Canada.

Un impact planétaire

Au cours de sa tournée nord-américaine de conférences en ce novembre 2013, Philippe Karsenty a présenté son analyse de l’affaire al-Dura en Pennsylvanie, à New York, Washington ou Montréal. Une analyse mûrement réfléchie, longuement peaufinée depuis qu’il s’est engagé voici une dizane d’années dans ce combat contre un reportage – en différé, le corresponsant le commentant n’ayant pas été présent sur les lieux, rappelle-t-il – diffusé par France 2 le 30 septembre 2000. Reportage dont les échos subsistent à ce jour et qui eut, souligne-t-il, « un impact planétaire ». Pour preuve ces timbres poste émis dans maint pays musulman, ces monuments, à Bamako, par exemple, à la mémoire de Mohamed al-Dura, tué par des tirs de soldats israéliens, accusait France 2, acteur d’une mise-en-scène, affirme Philippe Karsenty. Pour preuve de cet impact aussi le fait que cet épisode, dans la version France 2, a été utilisé par Ben Laden dans des cassettes de recrutement pour la guerre sainte, le jihad, ou invoqué par les assassins du journaliste américain Daniel Pearl mais aussi un Mohamed Merah, qui tuait à bout portant de petits enfants et un jeune père juifs dans une école juive de Toulouse.

Une affaire al-Dura moteur à la fois d’un antisionisme et d’un antisémitisme violents. Que démonte Philippe Karsenty, utilisant les images mêmes tournées par un cameraman palestinien engagé, qui évoque des tirs nourris pendant de longues minutes, venus d’un fortin israélien dans un angle de tir quasi impossible, alors que le mur devant lequel se trouvaient Mohamed al-Dura et son père ne porte que peu d’impacts de balles tirées autour d’eux et de face, selon des experts en balistique. Entre autres incohérences de ce témoignage. Sans compter les scènes filmées en ce même lieu, le carrefour de Netzarim, dans la Bande de Gaza, presque au même moment, montrant la propension locale au reportage fiction, qualifié de « pallywood » par l’historien Richard Landes. Ce dernier étant cité par Philippe Karsenty, comme le réalisateur Pierre Rehov, qui, après visionnage du reportage déposa plainte contre France 2, plainte aussitôt rejetée, le physicien Nahum Shahaf qui dénonça très tôt des incohérences dans ce reportage, ou la réalisatrice Esther Schapira, auteur pour la télévision allemande ARD de deux documentaires sur cette affaire.

De nombreuses incohérences...

Philippe Karsenty évoque d’autres incohérences dans ce reportage ou divers témoignages, et elles sont nombreuses. Il égrène aussi la liste des procès intentés contre lui, avec relaxe ou condamnations. La dernière en date étant celle de juin 2013. Or, dit-il, la commentant, "il en ressort que je suis condamné pour avoir dit trop tôt, en novembre 2004, ce qui allait devenir une évidence par la suite pour tous les esprits sensés, à savoir que le reportage de Charles Enderlin diffusé par France 2 le 30 septembre 2000 était une pure et simple mise en scène" Une condamanation dont il a fait appel et l’affaire est actuellement devant les tribunaux.

Un rapport du gouvernement israélien, le soutien de Middle East Forum

Entre temps, en mai 2013, rappelle Philippe Karsenty, le gouvernement israélien publiait ses conclusions quant à cette affaire. On y lit que « les affirmations et accusations au coeur du reportage de France 2 n’ont aucun fondement dans ce que cette chaîne avait alors en sa possession...Il n’y a aucune preuve que Tsahal ait été en aucune manière coupable d’avoir infligé aucune des blessures alléguées à Jamal [ le père ] ou à ce garçon". Et le 30 septembre 2013 le Middle East Forum, cercle de réflexion dirigé par l’expert Daniel Pipes, annonce son soutien à Philippe Karsenty car il »considère qu’en luttant pour la vérité dans le cadre de la bataille al Dura, Philippe Karsenty a travaillé pour l’histoire et la vérité historique de ce qui se passe au Proche-Orient".

« Un combat pour la vérité contre le plus grand mensonge antisémite des temps modernes »

Voilà pour l’essentiel de la teneur des interventions de Philippe Karsenty, dans ce qu’il qualifie de combat « pour la vérité contre le plus grand mensonge antisémite des temps modernes », que ce soit lors de ses conférences ou de ses interventions dans divers médias anglophones ou francophones. Télévisés, radiophoniques ou de presse écrite

En novembre Philippe Karsenty terminait cette tournée nord-américaine par Montréal, avec une intervention en anglais pour un public anglophone le13 novembre à la synagogue Beth Israël Beth Aaron, sous la direction du Rabbin Reuben Poupko et le lendemain en français pour la Congrégation Séfarade francophone de Ville Saint-Laurent à la synagogue Petah Tikva sous la direction de son président Mr Maurice Amar. Ces deux soirées, ayant suscité un grand intérêt, avaient été organisées à l’initiative de Jacky Azoulay pour qui c’était là le premier engagement communautaire. Ayant appris que Philippe Karsenty, qu’il suit et apprécie depuis le départ, « cette cause étant celle du peuple juif en général », dit-il, se trouverait à Toronto, il lui avait demandé s’il pouvait se rendre à Montréal. Ce qui fut fait. Avec également une présentation pour les deux classes de terminale de l’école Maïmonide dirigée par Lucienne Azoulay. A noter, et c’est là une première importante, qu’un manuel d’histoire pour le secondaire, écrit par Magali Marc, historienne, Professeur de Sciences Politique à l’Université de Montréal, relate pour la première fois le combat de Philippe Karsenty qu’elle soutient sans réserve

Une intervention de Charles Enderlin, également au Québec, organisée puis décommandée...

Lors de la soirée à la synagogue Petah Tikva de Montréal, suivie par plus de trois cents personnes, la venue de Charles Enderlin le 25 novembre avait été évoquée. Mais, finalement, le correspondant de France 2 a fait savoir qu’il y renonçait « pour des questions d’agenda », décevant nombre de personnes soucieuses d’entendre sa version des choses après avoir suivi l’exposé très charpenté de Phillipe Karsenty ; qui s’était livré au jeu des questions réponses sans la moindre réserve.

Pourtant, le 26 novembre Charles Enderlin donnait à Montréal une conférence sur le thème « Israël Palestine : les occasions perdues ». Invité cette fois par le Centre d’études et de recherches internationales de la Faculté des Arts et des Sciences de l’Université de Montréal qui le présentait ainsi : « Charles Enderlin est grand reporter et correspondant de France 2 en Israël. Depuis plus de trente ans, il couvre le Moyen-Orient pour les journaux télévisés de la chaine. Ses reportages sur le conflit israélo-palestinien lui ont valu des critiques de la part des deux parties, ce qui témoigne de son souci d’objectivité. Au-delà du récit des évènements, Charles Enderlin poursuit une réflexion sur les raisons de l’échec de la paix entre Israéliens et Palestiniens, notamment dans ses livres Le Rêve brisé : histoire de l’échec du processus de paix au Proche-Orient, 1995-2002 (Fayard, 2002) et Les Années perdues : Intifada et guerres au Proche-Orient, 2001-2006 (Fayard, 2006) ». Une quinzaine de personnes y ont assisté, tout au plus pour entendre son récit et sa vision. A une question posée alors à propos du rapport d’une ONG britannique, Oxford Research Group, publié récemment, faisant état de plus de 11.400 enfants syriens tués entre mars 2011 et fin aôut 2013, Charles Enderlin répliquait que « la réalité imposée par les colons dans les Territoires » n’est pas à sousestimer...On appréciera la langue de bois et le parrallèle ainsi dressé...

Charles Enderlin se trouvait en effet également au Québec en ce mois de novembre. Invité aussi le 22 novembre pour un « petit-déjeuner-causerie », « organisé par le Conseil des relations internationales de Montréal et l’Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM [ Université du Québec à Montréal ] ».Une conférence payante, réservée à quelques uns du fait du coût élevé de l’entrée, « suivie par une entrevue avec Jean-François Lépine, président de l’Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord". Invitation faite »À l’occasion de la sortie de son plus récent livre publié aux Éditions du Seuil « Au nom du Temple : Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967-2013) ». Le thème de la causerie étant « La nouvelle géopolitique au Moyen-Orient : Enjeux et impacts pour le monde »

Pour se faire une idée de la neutralité journalistique supposée de l’ouvrage et de son auteur on pourra se référer au texte circonstancié et savoureux que lui consacrait en avril dernier Victor Perez

Un invité spécial de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec

Le lendemain de cette causerie Charles Enderlin était l’invité spécial du congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) qui se tenait les 22 et 23 novembre dans le cadre prestigieux du Château Frontenac de Québec – qui abrita Winston Churchill et Franklin Roosevelt en 1943 lors de la Conférence de Québec pour établir une stratégie commune à mener face à l’Allemagne nazie -. Le thème du congrès étant – sans ironie aucune peut-on supposer - « De l’info à la promo, 50 nuances de gris », le congrès devait « rassembler environ 600 personnes », en faisant « le plus important événement journalistique de l’année au Québec ».

La FPJQ présentait Charles Enderlin en ces termes : "Correspondant permanent de France2 à Jérusalem, collaborateur à Radio-Canada, Charles Enderlin couvre le Proche-Orient depuis plus de trente ans. En 2000, il se retrouve au cœur d’une polémique majeure alors qu’il couvre la mort d’un enfant palestinien. Dix ans plus tard, il publie le livre « Un enfant est mort » sur cette affaire. Charles Enderlin connaît bien la controverse ; sa couverture du conflit israélo-palestinien lui a valu des critiques virulentes des deux camps.
Sur son blogue, on peut lire cette citation : “Au Moyen-Orient, si vous ne pouvez pas expliquer une chose par la théorie du complot, n’essayez pas de l’expliquer ! Les gens, là-bas, ne vous croiront pas”. T. Friedman. NYT
Charles Enderlin est récipiendaire de la légion d’honneur française.
Il sera interviewé par Jean-François Lépine, grand reporter et ancien correspondant de Radio-Canada en Israël".

Ce qu’en pense un blogueur québecois de renom...

Invitation commentée ainsi par le blogueur québecois de renom, David Ouellette, sur le site Républiquedebananes.com : « Le journaliste franco-israélien Charles Enderlin fait autorité sur le conflit israélo-arabe auprès de ses confrères francophones. C’est sans doute pourquoi il est l’invité d’honneur du Congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec cette fin de semaine. Mon opinion sur la qualité et la rigueur du journalisme québécois sur le Moyen-Orient est connue. Je n’ai pas la prétention qu’on me prenne sur parole. Il suffit de lire les nombreuses décisions de l’ombudsman de Radio-Canada en la matière pour se faire une idée de l’ignorance et des partis pris qui minent la “référence québécoise” en journalisme international dès lors qu’il est question d’Israël. Or, en lisant l’entrevue avec Enderlin publiée aujourd’hui par La Presse, on ne peut que se désoler de l’autorité que lui reconnaissent tant de ses confrères.... »
Il faut lire l’intégralité de ce billet doux amer pertinent et percutant de David Ouellette intitulé : « Charles Enderlin, relationniste du rejectionnisme palestinien »

Ce qu’en écrit La Presse, un quotidien montréalais, qui commence très fort avec une contrevérité confondante...

Lors de son passage à Montréal Charles Enderlin était interviewé, en effet, par des médias locaux, dont La Presse. En bonne place, la légende d’une photo de Charles Enderlin illustrant l’article proclame cette étonnante contrevérité : " Le correspondant de France 2 au Proche-Orient, Charles Enderlin, a été poursuivi par Israël pour avoir blâmé les soldats israéliens dans la mort d'un enfant palestinien tué par balles sous l'oeil d'une caméra

. L’Etat hébreu n’ayant pourtant strictement jamais poursuivi le journaliste pour ce reportage en différé...Cela commence bien...Par ailleurs, Arlette Chabot, devenue directrice de l’information de France 2 peu après l’affaire al-Dura, a déclaré à plusieurs reprises, sur les ondes de Radio J, entre autres, que l’on ne pouvait accuser les soldats israéliens assaillis dans leur fortin d’avoir tué cet enfant. Quant à sa mort par balles, il faut entendre ce qu’en dit Phillipe Karsenty. Comme lors de ce Club de la Presse présenté par Jean-Claude Bourat ou lors des questions réponses ayant suivi la conférence. A écouter pour ceux qui ne n’auraient pas eu l’occasion de l’entendre.

Puis le quotidien La Presse présente ainsi Charles Enderlin : "Il a été au coeur de la controverse sur Mohammed Al-Dura, un enfant palestinien dont la mort par balles dans les bras de son père en 2000 est devenue un symbole de l'occupation israélienne. Le journaliste vient de publier {Au nom du temple}, qui relate la montée du fondamentalisme messianique juif et son lien avec la progression de la colonisation de la Cisjordanie"

On lit ensuite, entre autres, cette réponse de Charles Enderlin : « La majorité des Palestiniens ne veut pas détruire Israël. C’est une minorité, tout comme c’est seulement une minorité d’Israéliens qui veut à tout prix incorporer la Cisjordanie à Israël. Le problème, c’est quand les minorités arrivent à bloquer le processus politique et diplomatique ». On notera l’équivalence qui est faite alors que l’on voit mal comment, en ce qui concerne la démocratie israélienne, une quelconque minorité pourrait bloquer ce processus, alors que, côté palestinien, ce sont le Président et son appareil qui gèrent tout, incitant à une haine et une violence anti-israéliennes constantes. Comme le détaille avec des exemples quasi quotidiens l’ONG Palestinian Media Watch, Observatoire des Médias Palestiniens http://www.palwatch.org/

Interrogé ensuite par La Presse « Sur l’échec des négociations de 2000 », Charles Enderlin répond : « Pour moi, c'est la position israélienne sur Jérusalem-Est qui a tout compromis . C’était inacceptable pour les Palestiniens d’avoir autant de restrictions pour l’accès à leurs lieux saints. Ils étaient tout au plus prêts à accepter une souveraineté israélienne sur les quartiers juifs. Israël avait même proposé de construire une synagogue sur l'esplanade de la mosquée. Ça aurait embrasé la région. C'est comme si on construisait une synagogue au Vatican . » Ce dernier élément, une synagogue soi-disant prévue par Israël sur le mont du Temple, étant sans nul doute un « scoop » de la nature dont Charles Enderlin a le secret et que n’eut aucun autre journaliste, hormis la presse palestinienne sans doute... Quant au choix des termes « esplanade de la mosquée » il est éclairant...
On trouve un autre « scoop » du même acabit à la fin de sa déclaration sur les « réfugiés palestiniens » : « Je ne pense pas qu’on puisse faire une équivalence avec les réfugiés palestiniens de 1947 qui vivent dans des camps et n’ont pas été intégrés dans leur pays d’accueil. Les Juifs pouvaient aller en Israël, mais les Palestiniens ne sont ni égyptiens, ni syriens, ni libanais, ni jordaniens, même s’ils sont tous musulmans. » La Palestine avait une culture, une langue et une histoire propres en 1947 . La Palestine ? En 1947 ? Entre autres observations qu’appelle cette affirmation...

Ce qu’en dit Le Devoir et réponse du blogueur David Ouelette
Un autre quotidien montréalais, Le Devoir, après avoir interviewé Charles Enderlin, titrait «  Le messianisme s’est emparé d’Israël, selon le journaliste Charles Enderlin  ». Réplique à cet article de David Ouelette sur son blog - ne reflétant pas nécessairement, dit-il, les opinions de son employeur, Le Centre consultatif des relations juives et israéliennes, porte-parole officiel des quelques 400 000 juifs canadiens :
"
Le pragmatisme israélien demeure sans réponse palestinienne
N’en déplaise à Charles Enderlin, le triomphe d’un prétendu messianisme juif en Israël est davantage le reflet de son besoin de s’inventer un coupable désigné pour l’échec du processus de paix israélo-palestinien que de la réalité sociopolitique israélienne .S’il est vrai qu’il existe un courant national-religieux en Israël, minoritaire même chez les « colons » dont la majorité est attirée par les implantations pour le coût avantageux du logement, celui-ci est loin de s’être emparé de la société ou des politiques israéliennes. Depuis Camp David en 2000, Israël a offert à maintes reprises aux Palestiniens une souveraineté partagée sur la ville trois fois sainte de Jérusalem. De plus, ces plans de paix renoncent même à la souveraineté israélienne sur le lieu le plus sacré du judaïsme, le Mont du Temple, pour offrir aux Palestiniens le contrôle exclusif de la Mosquée Al-Aqsa et du Dôme du Rocher".

Terre dont se serait emparé le messianisme ?

On ajoutera que Charles Enderlin, qui s’exprime dans ses reportages depuis la capitale d’Israël, Jérusalem, où il y a l’un des quartiers ultra religieux les plus connus d’Israël – un quartier, pas toute la ville-, doit ignorer que Tel Aviv était élue « la meilleure ville gay en 2011 ». On imagine très mal, en effet, où irait se nicher un quelconque messianisme dans une Gay Pride qui attirait 100.000 personnes en 2013 Ce spécialiste d’Israël sait-il que Tel Aviv est une capitale de la mode en devenir où l’on pratique des sports au goût de Californie ? On se demande aussi s’il connaît les bonnes tables israéliennes que recommandait récemment le célèbre Gilles Pudlowski à François Hollande. Et pour rester dans ce domaine il faut citer l’expertise acquise en Israël en matière de bons vins.... Sans oublier le formidable développement de la science et du high-tech et les Prix Nobel israéliens en la matière... Ceci pour ne prendre que quelques exemples de la diversité et de la modernité israéliennes bien loin d’un quelconque messianisme qui n’est que l’une des facettes de l’Etat hébreu.

Gageons que lors de sa prochaine visite à Montréal lorsqu’il sera de retour en Amérique du Nord pour être entendu, cette fois, par le Congrès américain, Philippe Karsenty aura quelques remarques à faire sur ces interventions de Charles Enderlin dans La Belle Province, s’inscrivant dans le droit fil de sa vision des choses...


(ndlr. Les passages surlignés l’ont été par nos soins )



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