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Par Marc Brzustowski Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
samedi 7 mai 2011
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Cette semaine, s’est produite une interférence majeure dans le long fleuve tranquille de la communication diplomatique : à deux jours de signer l’accord de réconciliation avec l’OLP, Ismaïl Haniyeh s’est lâché et présenté au monde sous son vrai visage. Décontenancé par l’élimination ciblée du terroriste n°1 sur la planète, il a bredouillé que l’Amérique, et non Israël, était sa véritable cible et rendu un hommage appuyé au « Cheikh Ben Laden », le salaud le plus tendance et le plus « romantique » de ces dix dernières années. 48 heures plus tard, au Caire, il devait réjouir le cœur des groupies de « l’Etat palestinien », en reprenant une contenance plus « modérée » pour serrer la main de son homologue de Ramallah.