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Plus jamais !
Par Stéphane Juffa© Metula News Agency
Article mis en ligne le 8 octobre 2004

Le capitaine Alfred Dreyfus. Un sacrifice et un legs que nous n’oublions pas

Discerner, discerner et s’employer à faire la part des choses. Tous les actes de racisme et d’antisémitisme ne se ressemblent pas, ils diffèrent à la fois par leur violence et par la représentativité de leurs auteurs. Discerner encore, pour ne pas sombrer dans la banalisation du dol racial, dans l’accoutumance, qui accorderait la victoire aux racistes. Ne pas tomber dans l’amalgame, je veux dire, en aucun cas, ne répondre à la haine dirigée contre un groupe d’individus, en vertu de ses origines, de sa nationalité ou de sa foi - le racisme - par une contre haine dirigée contre un groupe d’individus pour les mêmes raisons.

Information : Témoigner, d’abord, avec rigueur puis essayer de comprendre pour aider les autres à pénétrer ce qui leur semble inaccessible. Et pour nous aider, nous les informateurs, se rappeler qu’il n’est aucun événement qui se produise sans raison.

Observer l’écrivain Alain Soral, demandant à cinq millions de juifs gazés de faire leur autocritique, c’est préoccupant. Sylvain Cypel, qui psychanalyse son complexe de Portnoy en imputant, imaginairement, au peuple dont il est issu la manie d’espionner ses amis. Préoccupant. Tout comme Edgar Nahum, dit Morin, attribuant, globalement, à ce même peuple des caractères ataviques démoniaques. Et l’Obs, qui montre les cadavres ensanglantés de Palestiniens, en affirmant, tout en sachant parfaitement qu’il transgresse la vérité, qu’ils ont été tués « par un obus tiré d’un char israélien ». Cet « Israel bashing », comme l’appelle Rosenzweig, est hautement dommageable, en cela qu’il conditionne pour les siècles des siècles la haine du public, construite de toutes pièces sur un tissu de mensonges, absolus et dirigés, contre la nation d’Israël.

Mais les réactions internes de journalistes du Monde à la dernière folie de Plenel. Mais l’éditorial éclairé « Mystification » de Denis Jeambar, dans la dernière livraison de l’Express et la révolte de journalistes sans grades de RFI face aux égarements d’Alain Ménargues. Mais cette réaction d’intelligence, peut-être un peu encouragée par notre travail, de confrères français, qui ne sont ni antisémites ni anti-israéliens, et qui ne veulent plus cautionner d’aucune manière le vertige antijuif. La résolution de ces gens est remarquable ; leur insoumission à la marée brune déferlante constitue les exceptions qui entretiennent l’espoir.

Puis il y a ce qu’il faut commencer d’appeler le dysfonctionnement de la justice tricolore et du Ministère de la justice. On entre, avec le verdict de Nanterre - ne tenant aucun compte du libellé de la plainte - blanchissant Morin et Plenel d’un acte public d’antisémitisme caractérisé et mettant les plaignants à l’amende, de plein pied dans le domaine de l’inacceptable. Ca n’est plus ici l’affaire de particuliers, fussent-ils connus du public, c’est le début de l’effritement du mur de séparation républicain, censé protéger la société contre les excès qui la menacent. C’est aussi le cas, impliquant directement le garde des sceaux, décrit par les juristes Calvo et Calvo dans leur ouvrage « Le dossier Arafat » ; cas dans lequel la justice, multipliant les mesures arbitraires et discriminatoires, tarde à entendre les plaintes de Français juifs et décharge, a priori, Yasser Arafat des crimes de sang dont les victimes l’accusent. Qu’y faire, ces dysfonctionnements nous rappellent, à chacune de leurs manifestations, que pour la justice française, le capitaine juif Alfred Dreyfus est toujours, cent ans après les faits, coupable du crime de trahison au profit de l’Allemagne ? Bénéficiaire d’une grâce présidentielle, réhabilité mais judiciairement coupable.

Ensuite, il y a les actes d’antisémitisme officiels et semi-officiels. Ceux qui explicitent, comme la Ména l’a toujours soutenu, le rôle prépondérant de l’Etat français dans l’actuelle épidémie de peste antisémite. Là, il faut bien parler d’une chaîne de mesures, d’une dynamique homogène de la haine. Ainsi, l’agence de presse officielle AFP, qui édicte, dans une circulaire interne [1], que « le terme de colon peut ainsi être utilisé lors d’une attaque palestinienne contre une colonie. » Qu’« il n’y en a pas d’autre qui soit satisfaisant, tant en français qu’en anglais ». Quid « d’habitant d’implantation » et de « settler », demande la Ména ? La directive de l’AFP proscrit toutefois, avec un certain retard lourd de sens, l’emploi du terme « bébé colon », ajoutant, presque mot pour mot, l’explication fournie à l’époque par notre agence.

Un kamikaze palestinien ne tue pas « 18 personnes dans un bus bondé ». La formule aussi « est à proscrire », définit le commissariat politique dans ses directives. « Il faut lui préférer » - la formule passive, ça n’est pas le Palestinien qui tue, c’est l’attentat - « un attentat suicide a tué 18 personnes (…) ».

Et qu’est-ce qui fait que les Français n’entendent parler que de la mort d’activistes palestiniens, autrement dit de civils palestiniens partisans d’une doctrine politique ? Que les chefs activistes appartiennent à la branche militaire [2] d’un mouvement radical palestinien, autant de violations de la langue française et des règles élémentaires de notre métier - lancer des Quassam à l’aveugle, sur une population civile procède-t-il d’une action militaire ? - au seul profit de la sauvegarde de l’image de personnes armées s’attaquant systématiquement à des civils juifs ? Bien, c’est que les dépêches de l’officine de propagande du Quai d’Orsay - après ces révélations, on ne peut décemment dénommer l’AFP une agence de presse et ses fonctionnaires aux ordres, des journalistes - proscrit également l’usage des termes « terrorisme, terroristes » et même « extrémistes » pour définir des actes de Palestiniens. Curiosité de la circulaire, ses auteurs mentionnent que « Yasser Arafat a lui-même utilisé le qualificatif de »terroriste« (même sur la note, c’est entre guillemets, on n’est jamais trop précautionneux, Ndlr.) pour les attaques menées contre des populations civiles à l’intérieur d’Israël ».

Arafat peut dire terroriste, parlant de Palestiniens mais pas l’AFP.

Suite des aveux en forme de contradictions contenus sur ce document à usage, en principe, interne, l’AFP admet explicitement que : « (…) les organisations palestiniennes à l’origine de ces attentats (le Hamas et les brigades Al-Aqsa) [3] ont été ajoutées par l’Union européenne à sa liste des organisations terroristes et qu’elles figurent aussi sur la liste américaine ». Si, pour l’Union Européenne, ces organisations sont bel et bien terroristes, pour l’agence officielle d’un Etat qui en fait partie, elles demeurent des « mouvements radicaux [4] palestiniens » et ses membres, des activistes, des activistes armés (c’est une nouveauté, ce sont des gardiens d’immeubles munis de Kalachnikov, en quelque sorte !) et des militants, quelle que soit l’action terroriste à laquelle elles se livrent. Pour couper court à toute interprétation confuse, l’agence d’information française a pré-établi par cette directive que le Hamas, les Tanzim, le Jihad ne peuvent en aucun cas, jamais donc, être qualifiés par elle d’organisations terroristes, dussent-ils faire s’écraser un 747 rempli de matières radioactives au cœur de Tel Aviv.

Les dépêches, issues de ces directives pour le moins scabreuses, sont tenues pour paroles d’évangile dans toutes les rédactions de France. Elles sont reportées sans susciter le moindre regard critique. Elles sont défendues par toute une caste de ramassent-crottes, comme si c’était au pays français lui-même, que des « Américano-sionistes » imaginaires voulaient s’en prendre.


Notes :

[1] Il s’agit d’une circulaire interne de l’AFP, dont le texte intégral sera publié et commenté dans un ouvrage écrit par des journalistes de la Ména. Sortie prévue : Printemps-été 2005.

[2] Militaire : Qui concerne l’armée, la guerre (Larousse).
[3] du Fatah de Yasser Arafat, ainsi que les Tanzim, le FPLP et bien entendu, le Jihad islamique, oublie de mentionner l’Agence France Presse, même lorsqu’elle ne parle qu’à elle-même.

[4] Mouvements radicaux palestiniens : Mouvements concernant la nature profonde des Palestiniens (Larousse).



Plenel : Ariel Sharon, négationniste ?

Et il y a l’affaire A-Dura. D’aucuns se sont interrogés devant notre obstination, longtemps solitaire, à dévoiler toute l’imposture d’Abou-Rahma, d’Enderlin et de France 2. Cet entêtement est-il bien nécessaire ? Ne va-t-il pas nous fâcher inutilement avec nos voisins de palier ?

Ce que les institutionnels juifs de l’Hexagone n’avaient pas saisi, c’était la double dangerosité contenue dans ce reportage : La première, consistant à laisser diaboliser les soldats d’Israël, en les présentant comme des assassins sadiques d’enfants. La seconde, à permettre à un média d’Etat de diffuser une fiction sur le dos des juifs, en la faisant passer pour de l’information.

Cette double propension compose l’ossature même de la fable traditionnelle de l’antisémitisme radical. Toujours grossièrement construite, toujours fondée sur une fausse accusation, toujours dénonçant une attitude monstrueuse (extrahumaine) de la part des juifs. Comme dans les procès de la justice tsariste - lorsqu’elle accusait des ouvriers juifs d’avoir préparé des pains azymes avec le sang d’enfants chrétiens - dans le procès Dreyfus - de vendre la France à l’Allemagne - dans la propagande nazie - d’affamer le peuple et de pousser la planète vers la guerre - Talal Abou-Rahma, l’unique témoin de l’assassinat de Mohamed A-Dura, accuse les soldats israéliens d’avoir choisi un enfant parmi une foule d’adultes et d’avoir tiré dans sa direction durant quarante-cinq minutes avec l’intention de le tuer.

Il faut au justicier d’un procès antisémite de s’abêtir pour considérer sérieusement le contenu des accusations ; deux minutes de consultation objective des « preuves » suffisant, dans chaque cas, à un esprit moyennement doué pour comprendre qu’il s’agit d’une imposture à caractère racial. L’antisémitisme, sentiment stupide et extrême par excellence, a un besoin impérieux de se nourrir de crimes juifs excessifs. Un besoin à ce point jupitérien, que, faute de trouver de ces crimes parmi les actes des juifs, il finit toujours par les mettre en scène. A ce titre, l’imposture A-Dura était un pont vers le subventionnement et la diffusion de « La porte du soleil » par le Ministère de la Culture ainsi que le ministère des Affaires Etrangères français. Sans disposer d’un exemple d’atrocité commise par les Israéliens, tiré de la pseudo réalité du conflit armé, le 22 août 2002, la commission de répartition des aides (Fonds sud cinéma) de l’Etat français aurait sans doute hésité à allouer 152’000 Euros au film de Yousry Nasrallah, Elias Khoury et Mohamed Soueid.

Sauf l’épisode du « meurtre de l’enfant sur les genoux de son père », je doute que la fondation helvétique MonteCinemaVerità, que France 2, la télévision publique tessinoise TSI, la chaîne nationale belge RTBF, les Danois de DR TV, la chaîne de propagande du Ministère français des Affaires Etrangères TV5 etc. auraient trouvé l’audace de contribuer à la mise en scène des crimes nazis, imputés désormais au mouvement national juif, dans « Bab el-Chams ».

Ce soir et demain, sur Arte, l’incitation étatique de l’Etat français à la haine raciste des juifs va assurément franchir une nouvelle étape. Et accordez-moi de refuser de m’intéresser à la critique filmique de cette œuvre : Lorsqu’un cinéaste transforme les soldats du Palmach en Waffen SS, le Kibboutz - fleuron occidental de l’expérience socialiste librement consentie - en Auschwitz, le démocrate, soucieux des enseignements de l’histoire, a autre chose à faire que de commenter le jeu des acteurs !

D’autant que rien ne manque à l’abjection de la comparaison, financée par les ministères français précités, par le Centre National français de la Cinématographie, par l’Agence Intergouvernementale et par le CIRTEF [1]. Ni les uniformes allemands sur le dos des militaires juifs (souvent rescapés des camps d’extermination allemands, juste trois ans avant les événements contés), ni le tatouage sur l’avant-bras du héros palestinien, ni le travail forcé dans les « Arbeitslager » sionistes, ni même les monticules de vêtements que les nazis arrachaient aux déportés juifs juste avant de les gazer et que Nasrallah transporte à l’entrée du Kibboutz.

S’abêtir à déconstruire ces impostures historiques, simplement parce qu’elles ont vu le jour dans le cerveau d’un antisémite égyptien, financé dans l’expression de sa haine par de hauts fonctionnaires de l’Etat français ? Non.

Juste dire aux lecteurs qui pourraient être désorientés par les moyens engagés dans ce film et par le fait qu’il est diffusé par une chaîne semi-publique appartenant à la France et à l’Allemagne - à l’Allemagne ! -, que cette fresque historique est absolument sans fondements factuels et que jamais la Haganah n’a massacré de villageois arabes. D’ailleurs, quelle meilleure dénégation apporter à cette fiction controuvée, que de relever qu’en Galilée, la région d’où je suis et où je vis, il existe encore aujourd’hui une majorité démographique en faveur des Israéliens arabes sur leurs compatriotes d’origine israélite. Etrange résultat du transfert-génocide présenté dans La Porte du soleil…

A-Dura était une fiction d’atrocité juive que le service public français de télévision s’applique à faire passer pour de l’information ; Bab el-Chams est une prétention d’information que le site du ministère des affaires étrangères [ici], s’efforce de présenter comme une fiction. Mais à résultat semblable : Dans une période troublée par une guerre sans fin au Moyen Orient, importée en France au niveau des communautés respectives, les pouvoirs publics soufflent sur la flamme de l’antisémitisme à s’en faire éclater les poumons.

Ce soir et demain, des millions de téléspectateurs musulmans consommeront les images de cette nouvelle imposture. Et croyez-moi, parce que j’ai regardé les critiques de ce film parues sur les médias musulmans et pro arabes, une infime minorité d’entre eux disposera des moyens de différencier entre le scénario du film et l’Histoire. S’en suivra une exacerbation supplémentaire de la haine intercommunautaire, financée cette fois par le contribuable tricolore.

Et ne comptons pas sur le réalisateur pour signaler le danger de l’effacement de cette frontière. Dans une interview que Nasrallah a concédée à l’Humanité [lire], il fait exactement la démarche contraire, il suit en fait les mises en scène de son film. « Il peut venir si les Israéliens comprennent que ce qu’ils ont fait en 1948 est un crime contre l’humanité et qu’ils sont prêts à le reconnaître. C’est le prix à payer pour une solution. Les Palestiniens ont le droit de voir leurs souffrances reconnues », assène le cinéaste et encore « Cette histoire terrible n’est pas seulement palestinienne. (…). On voit aussi comment l’histoire moderne est aveugle, comment le XXe siècle fut celui des grandes guerres et des massacres ».[2]

De fait, Arte propose un genre nouveau de déviance intellectuelle, que j’appellerai « l’hypernégationnisme ». Il ne s’agit plus de nier l’existence des camps d’extermination nazis, les hypernégationnistes affirment maintenant que les juifs étaient des nazis et qu’ils ont employé les méthodes d’extermination allemandes contre les populations palestiniennes.

Pantalons bouffants à la prussienne, casquette de l’armée allemande… le soldat de la Haganah

Le Quai d’Orsay nage d’ailleurs dans ce délire antijuif. Lui qui finance RFI à 100%, n’a pas encore trouvé le temps de botter en touche Alain Ménargues, le directeur de l’info, qui a qualifié Israël « d’Etat raciste ». A Métula, on comprend chaque jour un peu mieux l’importance du témoignage de notre confrère Jérôme Coursade au sujet de l’incompatibilité qu’il y a, entre haïr Israël de façon maladive et en parler publiquement. Et autant qu’on le sache, Ménargues et Edwy Plenel, qui titre en une, sur un papier de Freddy Raphaël, qu’Ariel Sharon est négationniste, ne sont les otages de personne.

Certes, mais l’évènement cinématographique de ce soir change la donne de l’équation : La France et les juifs. D’abord, parce que le gouvernement français vient d’enlever toute crédibilité à sa prétention de lutter contre l’antisémitisme. Sa participation au film de ce soir, au niveau du financement et de la diffusion, montre au contraire qu’il a fait le choix de participer à la guerre à Israël et donc aux juifs. Ensuite, parce qu’il met l’appel de Sharon à l’alya des israélites de France en pleine actualité : Un juif français peut-il voir son avenir dans un pays qui paie pour grimer son frère d’Israël en tortionnaire nazi et qui contribue à dresser ses concitoyens musulmans contre lui, par voie de diffusion de contrevérités audiovisuelles sommaires ? Et enfin, parce que les temps ont changé et que justement, depuis la création d’Israël, les juifs ne sont plus un troupeau d’êtres sans patrie et sans défenses que l’on mène à l’abattoir.

Mais si ce film est diffusé sur Arte, comme cela est programmé, toutes les personnes physiques qui auront collaboré à cette imposture antisémite, des fabricants du film à ses financiers, en passant par ses coproducteurs, ses soutiens, ses contributeurs et ses diffuseurs se seront eux-mêmes définis comme les ennemis pathologiques de la nation d’Israël. Il ne s’agit plus d’adversaires, en cela que ces individus prennent sciemment la décision d’inciter à la haine ethnique par voie de diffusion d’une imposture historique. Ennemis, signifie pour moi, des personnes qui ont rompu le cadre du dialogue et dont il importe, par toutes les façons civiles [3], de combattre les initiatives. Prétendre à la liberté artistique pour montrer La porte des ténèbres, équivaut à faire la même démarche pour le film nazi : « Le juif Süss » de Veit Hartan, en 1940. Tout ce qui tient sur une pellicule n’est décidément pas du cinéma. Et s’opposer à la diffusion de la haine n’est pas de la censure, c’est au contraire de la résistance humaniste à la haine et à la violence.

Plus jamais !


Notes :
[1] Conseil International des Radios-Télévisions d’Expression Française [accéder au site de cette organisation]
[2] En fait de guerres, de massacres et d’histoire, dès le lendemain de la création de l’Etat d’Israël (14 mai 1948), dont la légitimité internationale fut l’objet d’un vote par l’assemblée générale de l’ONU (29 novembre 47), les armées régulières du Mufti de Jérusalem, installée en Syrie et encadrée par des officiers SS en fuite - et ça ce n’est pas une fable - du Liban, de Transjordanie, d’Irak et d’Egypte envahissaient le minuscule Etat nouveau-né, dans le dessein déclaré de noyer ses habitants dans la Méditerranée. Israël avait reconnu la résolution des Nations Unies et se satisfaisait du territoire qu’elle lui octroyait.
[2] Il ne s’agit certainement pas de tenter de leur remettre les idées en place à coup de battes de baseball. Que les choses soient claires comme le cristal.



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