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par Daniel Pipes - National Review | Adaptation française : Anne-Marie Delcambre de Champvert
dimanche 9 mai 2010
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Quand l’information nous parvient que des musulmans se livrent à la violence, la triade de politiciens, policiers et médias suppose toujours que l’auteur souffre d’une faiblesse mentale ou affective (pour une liste rapide d’exemples, voir mon article « Djihad soudain ou « syndrome d’extrême stress » à Fort Hood ? ») Au lieu de cela, je soutiens qu’ils devraient commencer par une présomption d’intention djihadiste. Autrement dit on devrait parler de passion idéologique, et non pas la folie. Répandre l’islam et appliquer la loi islamique sont les objectifs. Bien sûr, certains musulmans fous existent et ils s’engagent dans la violence mais ils constituent un pourcentage microscopique des 15.247 incidents terroristes musulmans depuis le 11 septembre, comptés par www.thereligionofpeace.com