A lire le compte rendu de la presse en général, et sur le conflit proche-oriental en particulier, un sentiment d’agacement et de rage assaille tout quidam un tantinet logique. Lorsque ce n’est pas le ‘’journaliste’’ qui va de son ‘’scoop’’ sur Israël, c’est le politique ou encore ‘’l’expert’’ qui prend la place laissée vacante. cvOn s’est familiarisé, par les soins de ces procurateurs par excellence, à ce que ce pays soit devenu, au fil du temps, le vilain petit canard responsable des maux de ce petit monde.