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lundi 22 mars 2004
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Ahmed Yassin, chef et fondateur de l’organisation terroriste Hamas a été tué ce matin à bord de son véhicule, lors d’une attaque de l’armée de l’air israélienne. Yassin est le responsable direct d’une longue série d’attentats terroristes qui a causé la mort de dizaines d’Israéliens et de ressortissants étrangers.
Cette opération ne constitue pas un acte de vengeance. Elle s’inscrit dans l’effort constant d’Israël de lutter contre le terrorisme et ses sources. La brutale campagne terroriste menée par le Hamas n’a pour but que de tuer le plus d’Israéliens possible afin d’atteindre son objectif final : la destruction de l’Etat d’Israël.
La tentative de présenter Ahmed Yassin comme une sorte de leader spirituel modéré serait tout aussi ridicule que de présenter Ben Laden de la même façon. Sous son accoutrement pseudo religieux, Ahmed Yassin était un véritable terroriste qui a tiré profit de son influence spirituelle. Il a ainsi endoctriné des Palestiniens, y compris femmes et enfants, afin de les embrigader dans ses missions pseudos saintes de « djihad », pour qu’ils se donnent la mort en tuant des centaines de civils innocents.
Depuis Septembre 2000, Ahmed Yassin a personnellement donné son aval aux 425 attentats commis par le Hamas dans lesquels 377 personnes ont été tuées et 2076 blessées.
Parmi les attentats qu’il a personnellement commandités figurent :
Des centaines d’autres Israéliens ont été victimes de la haine cruelle de Yassin, qu’ils soient dans un autobus, un restaurant, fassent leurs courses ou marchent simplement dans la rue.
Le Hamas, sous l’autorité de Yassin, a également développé de nombreux liens avec d’autres groupes terroristes. Grâce au soutien, structurel et financier en provenance d’Iran et de Syrie, le Hamas est aujourd’hui capable d’opérer dans le monde entier.
Israël, quant à lui, s’efforcera de parvenir à une solution politique basée sur l’application de la Feuille de route. La paix ne pourra être obtenue que lorsque les leaders palestiniens auront réellement renoncé à l’utilisation de la violence comme instrument politique.