Le proviseur du lycée Maurice-Ravel, sous la menace islamiste, a jeté l’éponge. Et l’État a laissé faire...ont-ils donc aucun orgueil ?
On se demande comment les membres du gouvernement ont pu se résigner à ce qui ressemble à une capitulation devant les islamistes.
Revenons aux faits. Le 28 février dernier, le proviseur du lycée Maurice-Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, demande à trois élèves de retirer leur voile. Il ne fait ici qu’appliquer la loi de 2004. L’une d’entre elles refuse. S’ensuit une altercation. À partir de là, la machine à terroriser se met en marche.