Ni les excuses incompéhensibles ni les compensations financières démesurées n’auront servi à modifier l’attitude de la Turquie envers Israël. A la moindre occasion, les dirigeants turcs et à leur tête le « sultan » Recep Erdogan se permettent de considérer Israël comme un pays soumis à la dhimma.
Lundi, c’était au tour du vice-Premier ministre turc Bakir Buzdag d’avertir des « conséquences catastrophiques » d’une reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale d’Israël. Appelée au secours par l’Autorité Palestinienne autant que par le Hamas, la Turquie se dit catégoriquement opposée à cette éventualité qui selon Ankrara « provoquerait un nouveau conflit au Proche-Orient ».
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