Quelques heures après la fermeture des bureaux de vote lors des élections d’avril dernier, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a crié victoire, convaincu que son parti du Likud et ses « alliés naturels » à droite et parmi les ultra-orthodoxes avaient remporté la majorité. Lorsque le décompte final a été confirmé, sa réélection semblait en effet assurée : ces alliés naturels avaient remporté 65 sièges à la Knesset.
Sauf que l’un de ces alliés, Avigdor Liberman et son parti Yisrael Beytenu, a décidé de ne pas rejoindre la coalition dirigée par Netanyahu, estimant que le Premier ministre était devenu un redoutable opposant à la coercition ultra-orthodoxe et que lui,
Liberman, tortionnaire de l’électorat, nous doit des explications
Times of Israël en français | DAVID HOROVITZ
Article mis en ligne le 11 mars 2020