Chaque année, durant la période de l’Appel national pour la Tsedaka, ou lors des grandes collectes de l’AUJF, je m’interroge sur le don : ses motivations, ses ressors culturels, religieux, humains, économiques et même philosophique si l’on considère, le père de l’anthropologie, Marcel Maus – auteur d’un « Essai sur le don » et neveu d’Emile Durkheim-, comme un philosophe.
Persuadé de cela, je me demande pourtant : est-ce qu’en dépit des difficultés les donateurs seront au rendez-vous de la solidarité ? Est-ce que sans autre contrainte que celle imposée par leur conscience, ils referont ce chèque qui, redistribué aidera plus « faibles » qu’eux ?
La fenêtre du judaïsme sur l’extérieur
Actualité Juive | Le billet de Ariel Goldmann, Président du FSJU / AUJF et de la Fondation du Judaïsme Français.
Article mis en ligne le 28 décembre 2017