Le ministre déplore l’approche libérale du réseau social pour supprimer l’incitation anti-israélienne.Le géant de l’internet Facebook a rejeté samedi les critiques d’un ministre du gouvernement israélien, qui a affirmé que le PDG du réseau social Mark Zuckerberg, avait sur les mains « une partie du sang » d’une victime israélienne du terrorisme, parce qu’il n’a pas censuré l’incitation à la violence palestinienne et les discours de haine.
Dans une déclaration en hébreu, la société américaine a affirmé qu’elle travaillait régulièrement « avec les organisations de sécurité et les décideurs politiques à travers le monde, y compris en Israël, afin de veiller à ce que les gens sachent comment utiliser Facebook en toute sécurité ».
Incitation à la haine : Facebook répond aux accusations d’un ministre israélien
i24news
Article mis en ligne le 3 juillet 2016