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En tournée en France, Ahed Tamimi est un parfait symbole d’une jeunesse palestinienne dévoyée par l’Autorité palestinienne
Hélène Keller-Lind
Article mis en ligne le 21 septembre 2018

La nouvelle coqueluche d’une gauche aux penchants douteux, France Culture en tête, est Ahed Tamimi. Façonnée depuis sa plus tendre enfance par un clan qui compte nombre de terroristes, dont une tante qui figure sur la liste des terroristes les plus recherchés du FBI, elle est un exemple type de ce que le centre de réflexion ITCT, vient d’appeler dans un article remarquable, à propos d’un autre adolescent palestinien, meurtrier d’Ari Fuld, « un jouet mécanique ». Une victime de maltraitance d’enfants endémique dans la société palestinienne. À plaindre plutôt qu’à encenser…

L’un des problèmes d’Ahed Tamimi est qu’elle est photogénique. Ce qui enflamme plus encore, l’ardeur de ses adorateurs. Comme on l’a vu avec ce Tweet – effacé mais récupéré – de France Culture qui lui consacre, par ailleurs, 58 minutes dans sa chronique « David contre Goliath, les nouvelles figures héroïques »

Invitée à la Fête de l’Humanité en hôte d’honneur, elle a été encensée, photographiée, filmée, interviewée, par le journal communiste, bien entendu, mais aussi par Russia Today , puis Ouest-France, , car elle s’est arrêtée à Nantes, première étape de sa tournée en France pour y dire que son « objectif est d’arrêter la grande colonisation qu’est Israël » - autrement dit détruire Israël- et vilipender l’État hébreu. Il y a eu aussi La Croix, qui reprend le terme éculé « d’icône de la résistance à l’occupation israélienne » et annonce son programme : « Après Nantes, Ahed Tamimi se rendra à Grenoble, Nancy puis en Grèce, Espagne, Algérie et Tunisie avant de revenir dans son village de Nabi Saleh occupé par Israël depuis plus de 50 ans, ont indiqué des bénévoles de l’Association France Palestine Solidarité, qui accompagnaient la famille Tamimi. » . Le Point reprend les mèmes clichés . On apprend dans ces deux médias qu’elle a été reçue par Philippe Grosvalet, prédisent PS du Conseil départemental de Loire Atlantique. Avant Grenoble et Nancy

Évidemment AJ +, cheval de Troie branché à destination d’un public jeune, du Qatar, pays richissime, grand sponsor du terrorisme, encense sans arrêt Ahed Tamimi. Sa page Facebook est édifiante . Dans ses dernières vidéos il la met en scène lorsqu’elle déclare cash « Notre objectif est de stopper la grande colonisation qu’est Israël pour que cessent les souffrances des Palestiniens ». En clair détruire l’État hébreu http://www.ajplus.net/francais/. Diffusé aussi sur Facebook, bien entend

Ahed Tamimi, Salah Hamouri, produits d’une même éducation

France 24, en français, fait aussi son éloge, avec des vidéos reprises par des sites comme AlterInfo. Bref un parcours qui, bien qu’à ses débuts, fait songer à celui de Salah Hamouri, jeune terroriste franco-palestinien qui avait planifié l’assassinat du rabbin Ovadia Yossef, avait avoué son crime, avait été emprisonné puis libéré en échange avec Guilad Shalit franco-palestinien retenu de longs mois en otage par le Hamas. Hamouri avait été invité alors en France pour une tournée triomphale par des municipalités de gauche, reçu par Bertrand Delanoë, alors maire de Paris ou au Sénat, ce qui ravit un certain électorat, juste avant les élections qui portèrent François Hollande au pouvoir.
En certains lieux les photos d’Ahad Tamimi et Salah Hamouri se côtoyent d’ailleurs, comme sur le fronton de la municipalité de Rezé .

Des points communs ils en ont. Salah Hamouri qui a des terroristes pour héros et modèles. Ahed Tamimi ayant, pour sa part, salué le chef du Hezbollah libanais terroriste Nasrallah « qui lutte pour la cause palestinienne », dit-elle à sa sortie de prison, s’est rendue au mausolée d’Arafat et a été reçue par Abbas, promoteurs du terrorisme. Et ces deux jeunes gens ont un même admirateur, Ian Brossat, adjoint communiste de Mme Hidalgo, petit-fils du traître Marcus Klingberg, pourtant accueilli par Israël, un pays qu’il espionna pour le compte de l’Union soviétique. Ian Brosssat était allé jusqu’à rendre visite à Hamouri en prison…et le recevait en France, après sa libération, lors de sa grande tournée en France…

Si Ahed Tamimi n’est pas passée au terrorisme pour l’heure, elle y incite avec ardeur. Comme dans une vidéo tournée par sa mère, juste après l’épisode de la gifle et des insultes aux soldats. Réalité gommée par ses admirateurs qui ne parlent que d’une gifle, « résistance non violente ». Elle y préconise « jets de pierre, attaques au couteau, opérations de martyre ». D’où sa condamnation à de la prison.
Vidéo et incitation au terrorisme évoqués, par exemple, par Forward, magazine juif de gauche américain .
La liste des médias dithyrambiques qui encensent Ahed Tamimi est longue…

Des enfants « jouets mécaniques palestiniens », une culture qui a complètement déraillé…

Ses déclarations diffusées par France 24 en anglais, méritent que l’on s’y arrête, car elle y fait un constat de poids. « Tout Palestinien commence à résister à l’occupation dès sa naissance », dit-elle..
Ce qui rejoint une étude publiée il y a quelques jours par ITCT, le centre de réflexion sur le terrorisme, animé d’experts de premier plan venus de divers coins du monde, dont nous avions annoncé le lancement le 11 septembre dernier et dont l’équipe s’est étoffée depuis . Le titre, parfaitement approprié, en est « Khakil Jabarin, un jouet mécanique palestinien » .
Ce jeune homme du même âge qu’Ahed Tamimi, assassinait Ari Fuld, à coups de couteau dans le dos, dans un supermarché, alors qu’Ahed Tamimi jouait la vedette à la Fête de l’Huma. Elle gifle, menace, incite au terrorisme et au meurtre. Il passe à l’acte et tue. Tous deux sont le produit d’une même société, nourrie de haine, dès leur plus jeune âge, comme elle le proclame avec fierté. « Le besoin d’haïr et le besoin d’avoir un ennemi est en place à l’âge de trois ans », écrit l’auteur de l’étude…Jabarin a appris à haïr les Juifs alors qu’il s’imbibait inconsciemment de la rage meurtrière qui tourbillonnait autour de lui et le traversait alors que c’était un petit enfant, tout cela se produisant à la maison, derrière des portes closes. Bien qu’il soit difficile de savoir ce qui s’est passé exactement, ce que nous pouvons dire après le meurtre, c’est qu’il avait des fantasmes sadiques meurtriers qu’il a exécutés avec ce meurtre brutal. Nous parlons peu des pratiques d’éducation des enfants et de l’inconscient dans le développement de l’esprit violent des djihadistes. Cela pose les bases de la neuroscience et de la psychologie du comportement cognitif lorsque l’on étudie le comportement du djihadiste. »
Nancy Kobrin, spécialiste du terrorisme chez l’enfant pour ITCT, ajoute : « Les cultures de l’honneur et de la honte fabriquent inconsciemment des enfants violents comme s’il s’agissait de jouets mécaniques destructeurs et avant même ce qu’on appelle un lavage de cerveau manifeste (que l’on trouve dans [l’incitation à la violence systématique au cœur de l’enseignement dispensé par l’Autorité palestinienne http://palwatch.org/] ) . La culture de l’honneur et de la honte des Palestiniens, comme toutes les cultures arabes et non arabes musulmanes, est particulièrement brutale dans le traitement agressif et violent de ses propres enfants. Ils les traitent comme des objets et non comme des enfants ayant des besoins et des désirs réels. Les besoins sont considérés comme sales dans ces cultures d’honneur et de honte et la « saleté », leur rage destructrice, est projetée sur nous et mise en œuvre. Dans la culture d’honneur et de honte, on ne peut pas satisfaire leurs besoins de manière appropriée. Ils n’ont pas de frontières et exploitent les frontières existantes. Comme on peut le voir dans la propagande palestinienne, les défilés militaires et le fait de transformer en armes les ballons, simples jouets pour enfants. » On songe alors aux enfants et adolescents palestiniens qui participent à des émeutes violentes à certaines périodes en Judée Samarie ou à la barrière entre Gaza et Israël d’où ils lancent cerfs-volants et ballons de couleur pour incendier réserves naturelles et champs en Israël, y brûlant des hectares de faune, de flore et de cultures.
L’auteur met également en cause la théologie islamique, qui doit changer, écrit-elle, citant le célèbre hadith « Oh, musulman, il y a un Juif derrière l’arbre, vient le tuer » … « ce qui participe du monde inversé palestinien où le bien est le mal et le mal est le bien. Jabrin est l’un de ces innombrables enfants palestiniens qui ont été « prostitués » par leurs propres parents et vont continuer à être utilisés pour assassiner des Juifs jusqu’à ce que soit admis et traité ce problème de haine avant même que les enfants aillent à l’école...Une culture qui a totalement déraillé… »

Une famille de monstres

Le discours mécanique, répétitif, effarant, que tient Ahed Tamimi illustre cette analyse. Pas de jeunesse ordinaire pour elle, en effet, non pas à cause d’une quelconque « occupation » mais en raison de l’enfermement dans un climat de haine qu’elle subit aux mains de sa famille et de son clan. Son père et sa mère – qui se plait à filmer ce qu’elle a fait de sa fille -, ainsi que trois de ses frères l’accompagnent dans ce voyage en Europe. Son clan comporte plusieurs terroristes dont certains sont encore en prison. Il y a surtout sa tante, Ahlam Tamimi, maître d’œuvre de l’attentat sanglant dans une pizzeria de Jérusalem en 2001, qu’elle avait choisie parce que les enfants y venaient nombreux. Elle s’échappa, se maria avec un cousin, terroriste lui aussi, Nizar, – Ahed Tamimi avait assisté, tout sourire, au mariage - et coule aujourd’hui des jours heureux en Jordanie qui ne l’extrade pas, en dépit des accords passés avec les États-Unis, bien qu’elle soit sur la liste des terroristes les plus recherchés du FBI. Fréquemment interviewée, elle a déclaré à plusieurs reprises que son seul regret était que plus d’enfants n’aient pas été tués.
Pour tout savoir sur cette famille palestinienne de monstres, encensée par des médias et dirigeant occidentaux inconscients et irresponsables, dont la fille de 7ans récite déjà son bréviaire de la haine, lire cette présentation détaillée :

Le mensonge qui leur est inculqué aussi…

Un autre élément qui explique cette société devenue folle et ces enfants « jouets mécaniques » est l’éducation au mensonge des enfants palestiniens. Ahad Tamimi en donne un exemple frappant lorsqu’elle décrit dans des médias complaisants ou lors de prises de parole les conditions de détention qui auraient été les siennes pendant ses huit mois de prison, non pas uniquement pour avoir agressé et insulté des soldats, mais pour avoir ouvertement incité au terrorisme dans la foulée. Son public est effaré par son récit noir, et à raison.
Si ce n’est qu’elle ment. Son discours, à sa sortie de prison, avant sa reprise en mains, avait été bien différent. La prison ? Elle y avait « fait beaucoup de choses, un long cours de droit, de la lecture de nombreux livres, des petites déjeuners entre copines dehors, ou déjeuners, des fêtes, on y chantait et dansait, elles regardaient la télévision, sautaient et faisaient les folles… ». Une sorte de liberté, loin du carcan de la société palestinienne. Elle y prit d’ailleurs quelque 9 kilos…
Des activistes syriens, photos à l’appui, montrant une Ahed rayonnante et des corps émaciés d’enfants syriens morts en prison, faisaient alors ce commentaire, : « elle a eu bien de la chance de ne pas se retrouver dans une prison du régime d’Assad… »

Honte à tous ceux qui se rendent complices de ces désordres en prétendant soutenant une cause dont ils n’ont cure…



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