Trois événements ont défrayé la chronique israélienne ces derniers temps. Le premier, sans doute le plus fort, a été rapporté par le journal Israël Hayom, révélant au public que le Syndicat des médecins israéliens avait adopté une nouvelle règle, préconisant, en situation d’urgence grave où les blessés sont nombreux et l’équipe médicale limitée, de soigner non plus comme avant en premier lieu les victimes mais, si le cas se présente, le blessé le plus grave et donc possiblement le meurtrier quand il a été touché par la police si elle était là. Ce changement de politique, pris à l’initiative de l’ONG "Médecins pour les droits de l’homme", prend un relief particulier avec les assassinats islamistes au poignard (à l’heure actuelle, 22 personnes assassinées, 347 blessés ou traumatisés), encouragés et célébrés par l’Autorité et la société palestiniennes ( dont 65% soutient les meurtres de Juifs).
De la morale en politique
par Shmuel Trigano - Actualité juive
Article mis en ligne le 1er janvier 2016