L’élection le de 27 octobre d’un nouveau président argentin pourrait avoir des conséquences sur l’attitude du nouveau gouvernement à l’égard du Hezbollah libanais. Le nouvel élu, Alberto Fernandez, issu de la coalition de gauche « Front commun » a reçu l’ambassadrice d’Israël à Buenos Aires Galit Ronen. Parmi les sujets évoqués, la décision de l’ancien président Mauricio Macri d’inclure le Hezbollah dans la liste des organisations terroristes. On sait que le Hezbollah, l’une des tentacules de l’Etat-terroriste iranien, a été impliqué dans les deux terribles attentats antisémites perpétrés dans la capitale argentine dans les années 1980.
Argentine : changement de ton sur le Hezbollah
Shraga Blum | le P’tit Hebdo
Article mis en ligne le 23 novembre 2019