Ils n’ont par ailleurs aucun leadership puisque le Fatah et le Hamas n’entendent pas lâcher les rennes du pouvoir (et la manne financière qui l’accompagne) ni aucune perspective professionnelle, compte tenu de la crise économique endémique qui frappe les territoires sous contrôles palestiniens. La seule constante reste la faute imputée aux juifs dans chacun de leur malheur.
Le 4 janvier 2016, deux personnes, ont encore été poignardées à Jérusalem par un terroriste, finalement neutralisé par les forces de police israélienne. Depuis le 3 octobre 2015, 23 personnes ont déjà succombé aux attaques meurtrières palestiniennes perpétrées avec des couteaux ou des voitures bélier (outre des dizaines de victimes blessées).
« 25 ans » : le cycle d’échec dans la haine palestinienne
Par Maître Bertrand Ramas-Muhlbach
Article mis en ligne le 11 janvier 2016