Barak Obama exige de l’état d’Israël qu’il gèle définitivement « la colonisation des territoires occupés » et, par ce fait, l’accroissement naturelle des implantations existantes. La première interrogation qui vient à l’esprit, est de savoir ce que deviendront les milliers d’habitants qui devront attendre un supposé traité de paix avant de voir leur ville s’épanouir à nouveau ? Auront-ils la patience d’attendre le bon vouloir des ennemis d’Israël ou, ce qui est probablement souhaité par la communauté internationale, devront-ils déménager dans les « frontières de 1967 » pour avoir une vie décente ?