Cette affaire de la prétendue « Flottille de la Liberté » pour Gaza se termine par un fiasco : les autorités grecques, soutenues par l’Union européenne et l’ONU ont interdit aux navires de prendre la mer. La lassitude et le découragement ont saisi les quelque 300 militants pro-Hamas qui souhaitaient s’embarquer pour cette cette douteuse croisière. En dépit de leurs cris d’orfraie, le soutien populaire leur fait largement défaut. Il n’est pas besoin d’être un grand ami d’Israël pour comprendre le caractère intempestif de cette initiative.