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Le nouveau Premier ministre palestinien, l’économiste Salam Fayyad, est un infatigable travailleur qui a su gagner les faveurs de l’Occident en assainissant les finances palestiniennes après des années de mauvaise gestion.
Amos Oz avait, l’été dernier, avec les deux autres grands écrivains israéliens, David Grossman et A.B. Yehoshua, pris publiquement position contre la poursuite de l’offensive militaire israélienne au Liban. Aujourd’hui le romancier, intellectuel engagé, nous livre ses premières réflexions après la prise du pouvoir du Hamas à Gaza.
La Bande de Gaza replonge dans le bain de sang, suite à la reprise des affrontements entre le Hamas et le Fatah. La situation humanitaire est catastrophique et les violences menacent de déborder sur la Cisjordanie.
Dans cet article paru dans Libé, Rebonds, du 7/6/2007, vous trouverez en caractères gras les passages qui ont été coupés.
Le 5 juin d’il y a 40 ans, jour pour jour, j’entendis avec stupeur à la radio que l’aviation israélienne était au-dessus du Caire, ayant cloué au sol son homologue égyptienne... J’étais soulagé et inquiet.
Les affrontements interpalestiniens ont commencé à déborder du cadre étroit de la bande de Gaza. Les terroristes du Hamas ayant terminé de prendre le contrôle de cette dernière, ils ont retourné leurs fusils contre l’armée israélienne. Des terroristes palestiniens ont jeté lundi soir une grenade et ouvert le feu contre un poste de Tsahal au passage d’Erez.
L’impatience grandit au sein du Hamas. La tension intérieure qui bouillonne dans le mouvement a atteint de nouveaux sommets, quoique, généralement, les groupes rivaux aient réussi à l’empêcher d’éclater au grand jour. Les tirs de dizaines de roquettes et d’obus de mortier sur Israël, au cours des premières heures du Jour de l’Indépendance, le 24 avril, n’étaient qu’une avant-première de ce qui suivra probablement.
Il n’y a aucune fatalité dans les événements qui secouent Gaza depuis quelques jours.
Juste le résultat d’une stratégie. Celle d’une machine bien huilée, financée et entraînée, qui a conduit irrémédiablement à franchir une nouvelle étape dans la consolidation de l’alliance pan-islamiste.
Israël pourrait se trouver à l’aube d’une nouvelle guerre alors que six missiles se sont abattus ce dimanche après-midi sur le nord du pays. Triste réminiscence d’un été 2006 pris sous le feu des bombes du Hezbollah, deux Katyousha sont tombés à proximité de Kiryat Shmona à la frontière libanaise, une autre sur les forces internationales de l’UNIFIL basées dans le sud-Liban et trois autres qui restent à localiser.
On lit tant de sottises ces derniers jours, et tant d’informations dramatiques. Pourtant celle-ci n’est pas anodine. Refuser - de quel droit ?- à une capitale son titre. Comme d’autres refusent de reconnaître un état ? Par le plus grand des hasards anglais il s’agit d’une même terre. Jérusalem, ville à nulle autre pareille, capitale d’Israël.
« Je ne suis qu’une mendiante. Tous les Palestiniens sont des mendiants. Gaza, ce n’est pas chez nous. Chez nous, c’est là-bas », lance-t-elle en désignant le territoire israélien. De longues files de voitures se sont formées samedi devant les stations service de la bande de Gaza à la suite de rumeurs prêtant à Israël l’intention de fermer totalement le territoire palestinien après sa prise de contrôle par le Hamas jeudi.
Des vingtaines de Palestiniens ont été tués cette semaine à Gaza dans des luttes internes entre loyalistes du Président Mahmoud Abbas du Fatah, et ceux du 1er ministre Ismail Hanyeh du Hamas. Et comme s’ils se donnaient la réplique, il a suffi de 24 h pour que les spécialistes à travers le monde reprennent le même vieux refrain, blâmant Israël et le président Bush pour cette violence.
Les rues de Gaza retentissent de coups de feu alors que des hommes masqués se tirent les uns sur les autres. Des centaines de Palestiniens ont été kidnappés, torturés et exécutés par d’autres Palestiniens au cours des deux années passées. Ces derniers jours, la lutte entre le Hamas et le Fatah s’est intensifiée.
Plus d’une centaine de personnes étaient massées, samedi 16 juin, devant les grilles du passage d’Erez, cherchant à fuir la bande de Gaza contrôlée par le Hamas. Mais ils se sont ertrouvés pris au piège puisque l’armée isarélienne a fermé tous les points de passage entre Israël et la bande de Gaza.
Alors que le Hamas contrôle la bande de Gaza, le Fatah se venge. Les deux territoires sont désormais devenus des entités politiques distinctes. Affaibli par le coup de force du Hamas dans la bande de Gaza, le président Mahmoud Abbas a reçu hier le soutien particulièrement appuyé des Etats-Unis, qui se sont engagés à faire lever l’embargo sur l’aide internationale aux territoires palestiniens si le nouveau gouvernement palestinien ne comprenait aucun ministre lié au mouvement islamiste.
Israël reconnaîtra un gouvernement palestinien ne comptant pas des ministres du Hamas et coopérera avec, a affirmé le Premier ministre israélien Ehud Olmert. Il s’exprimait à l’aéroport en Gourion de Tel-Aviv avant son départ pour les Etats-Unis.
« Ceux qui te détruisent, ceux qui te démolissent, viennent de toi même » ? Un partie de ceux qui, en Angleterre, ont appelé au boycott académique d’Israël sont des Juifs et des Israéliens, selon une enquête menée par le Jewish Chronicle publié jeudi 14 juin. Selon cette enquête, la position extrémiste de ces personnes s’explique par leur volonté d’aider les Palestiniens dans leur lutte contre l’occupation.
La «Palestine» ne manque pas de faux alliés, ni les Palestiniens de faux amis.
À l’heure où le chaos gagne la bande de Gaza avant de s’étendre prochainement à la Cisjordanie, peu de voix, en France, s’élèvent pour pointer du doigt les vrais responsables de cette tragédie. Ceux qui se prétendent les alliés des Palestiniens préfèrent conforter leur sentiment de victimisation là où il faudrait, comme le font les vrais amis, leur dire la vérité.
Nous le savons grâce à Hind Khoury (Déléguée générale de Palestine en France) à qui Le Figaro a offert hier une tribune. Dans la situation actuelle, son contenu apparaît surréaliste, jugez plutôt : «La violence qui peut se manifester en Palestine (...) [est] un acte de survie contre un ennemi surpuissant qui se place au-dessus du droit international. Toute forme de violence dans les Territoires a pour origine les circonstances politiques, militaires et sociales imposées par Israël qui en est de ce fait responsable.»
En visite en Egypte, Moussa Abu Marzouq, vice-responsable du bureau
politique du Hamas, a rencontré un groupe d’intellectuels et de politiciens
égyptiens. La rencontre, qui a eu lieu le 1er juin 2007, était organisée sous l’égide
de l’Association des médecins arabes et a duré deux heures. Elle visait à “faire la
lumière sur les événements de la scène palestinienne”. Au cours de l’entretien,
Abu Marzouq a répondu aux questions du public. Un compte-rendu de la réunion
a été publié sur le site Internet des Frères Musulmans en Egypte, dont le Hamas
est issu (article d’Abd al-Muizz Muhammad, Ikhwan Online, 2 juin 2007).
La réponse à la question pour le correspondant en Israël du journal Le Monde , telle qu’elle découle de son analyse, parue dans le numéro daté du 16 juin, est évidente : c’est la communauté internationale (ce qui transparaît dès le titre : « Hypocrisie internationale autour de Gaza »).
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