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Il était temps. Il aura fallu attendre ce jeudi 19 avril 2018, pour vivre une grande première : Voir le Parlement européen reconnaitre le Hamas comme un mouvement terroriste qui se sert de civils comme boucliers humains, appelle à la destruction d’Israël et espère accélérer cette perspective grâce aux mouvements délibérément orchestrés pour créer des « tensions le long de la frontière Gaza/Israël ».
Le président français Emmanuel Macron s’est entretenu, samedi, par téléphone avec le chef de l’entité terroriste “Autorité palestinienne”, Mahmoud Abbas, pour “faire le point avec lui sur la situation en Palestine et sur les perspectives de négociations de paix” et ce à deux jours de la visite d’Etat de trois jours qu’il doit effectuer aux Etats-Unis, indique un communiqué de l’Elysée.
Le chef de l’Etat Français a salué à cette occasion “les annonces faites lors du sommet de la Ligue arabe à Dharhan le 15 avril appuyant la solution des deux Etats, avec Jérusalem comme capitale, et réitérant un soutien à l’initiative arabe de Paix de 2002”, ajoute le communiqué en soulignant que la France “continuera ses efforts en vue d’une solution négociée entre Israéliens et Palestiniens, seule voie possible pour retrouver le chemin de la paix”.
Pour Ilan Greilsammer, historien et professeur de sciences politiques israélien, la seule solution au conflit israélo-palestinien, c’est celle des deux Etats. Mais, selon lui, on n’est encore très loin d’un quelconque accord entre les deux parties.
Israël fête ses 70 ans d’existence. L’Etat hébreu a déclaré son indépendance le 14 mai 1948, mais les célébrations ont eu lieu cette semaine, en fonction du calendrier hébraïque. L’Echo a rencontré à cette occasion Ilan Greilsammer, historien et professeur de sciences politiques à l’université de Bar Ilan, près de Tel Aviv. Il est l’auteur de nombreux essais sur la société israélienne, dont « La Nouvelle Histoire d’Israël » et « Religion et Etat en Israël ».
L’ancien ministre, qui fait parti des signataires d’une tribune dans « Le Parisien », vilipende le silence des autorités et évoque une « purification ethnique » dans certains quartiers.
Plus de 300 personnalités ont pris la plume pour signer une tribune dans Le Parisien contre un « nouvel antisémitisme », samedi. Parmi elles, l’ancien ministre de l’Education nationale Luc Ferry. « J’avais été le premier en 2003 à dire à l’Assemblée nationale que l’antisémitisme avait changé d’origine, que l’on n’avait plus affaire à l’extrême droite ou aux vieux thèmes catholiques du juif peuple déicide auquel Vatican II (concile œcuménique de 1962, qui marque notamment la fin de la messe en latin, NDLR) avait heureusement tordu le cou », fait-il valoir, invité dimanche d’Europe 1. Pour l’ancien ministre, ce nouvel antisémitisme est d’autant plus dangereux qu’il est « mortel ».
Les forces de sécurité israéliennes ont retrouvé et arrêté 19 suspects en Judée-Samarie, dont 15 membres du Hamas qui ont reçu des fonds pour mener différentes missions terroristes dans la région au nom du groupe terroriste de Gaza.
Les forces de sécurité israéliennes ont arrêté dimanche matin 19 Palestiniens recherchés, dont 15 membres du Hamas qui ont été arrêtés dans la région de Ramallah.
Parmi eux, Khaled al-Din Hamed, un membre du Hamas originaire de la bande de Gaza, et d’autres hauts responsables qui ont reçu des fonds pour mener à bien différentes missions au nom de l’organisation terroriste du Hamas dans leur zone de résidence.
’un simple jeu, le cerf-volant est devenu une arme de contestation pour les Palestiniens qui en font usage pour atteindre les soldats israéliens de l’autre côté de la frontière.
Après les pierres et les cocktails Molotov, les Palestiniens qui protestent dans la bande de Gaza ont trouvé avec les cerfs-volants un nouveau moyen pour tenter d’atteindre les soldats israéliens de l’autre côté de la frontière. Des dizaines de ces cerfs-volants ont été lancés vendredi.
Les Palestiniens ont accroché un message à leurs dérisoires aéronefs : « Sionistes : vous n’avez rien à faire en Palestine. Retournez d’où vous venez ». « Nous voulons faire en sorte que l’ennemi se sente en permanence en état d’urgence », a expliqué jeudi un jeune Palestinien participant avec d’autres adolescents à la confection de ces cerfs-volants.
Organisée ce 19 avril 2018, en partenariat avec la Commission du Souvenir du (CRIF) et en présence d’Éric de Rothschild, président du Mémorial de la Shoah, plusieurs personnalités de la communauté juive se sont réunies au Mémorial.
Deux interventions ont attiré particulierement l’attention du public, celle de Francis Kalifat (Président du CRIF) et celle de l’ambassadeur de Pologne, Tomasz Młynarski.
Enquête sur la mort d’un jeune à Gaza, un ingénieur du Hamas assassiné en Malaisie, 6 pays envisagent de déménager leur ambassade à Jérusalem et Natalie Portman justifie son refus de se rendre en Israël.
Pour ceux qui ne comprennent toujours pas pourquoi l’Iran s’est installé en Syrie voici quelques déclarations de la bouche même de dirigeants iraniens avec quelques tweets révélateurs que j’ai postés en bas de l’article.
Du Guide suprême Ali Khamenei : le 1er tweet du 15 avril explique que la raison de la présence iranienne en Syrie n’est pas fondée sur un désir expansionniste dans la région. La raison de la présence iranienne en Syrie et Asie occidentale a été d’aider la résistance contre l’oppression : « The reason for Iran’s presence in Syria and in West Asia was to aid the resistance against oppression ». Que signifie donc la résistance contre l’oppression ?
Ce manifeste, rédigé par Philippe Val et que publie « Le Parisien-Aujourd’hui en France Dimanche », réunit plus de 250 signataires. Parmi eux, trois anciens Premiers ministres, des élus, des intellectuels, des artistes…
Dans un livre à paraître mercredi chez Albin Michel*, quinze intellectuels prennent la plume pour dénoncer le poison de l’antisémitisme. L’ouvrage, préfacé par la philosophe Elisabeth de Fontenay, est écrit avec l’énergie de la colère. Une colère qui prend aujourd’hui la forme d’un manifeste qu’« Aujourd’hui en France Dimanche » a décidé de publier
L’émissaire spécial de l’ONU au Proche-Orient Nikolaï Mledanov a une nouvelle fois exprimé le parti-pris sans nuances de l’ONU contre Israël qui fait face depuis trois semaines aux provocations du Hamas, aux tentatives de terroristes de pénétrer en territoire israélien et au lancement de bouteilles incendiaires au moyen de cerfs-volants.
Samedi, le Hamas a obtenu une nouvelle image dont il raffole avec la mort d’un adolescent de quinze qui faisait partie d’un groupe qui s’était approché de la clôture de sécurité malgré les multiples avertissements de Tsahal.
Après l’inculpation récente d’un employé du consulat général de France à Jérusalem pour trafic d’armes, le ministère des Affaires étrangères impose désormais une inspection des bagages et de la valise diplomatique.
Les autorités israéliennes n’ont pas perdu de temps. Dix jours après l’inculpation pour « trafic d’armes », d’un jeune volontaire employé par le consulat général de France à Jérusalem, le ministère des Affaires étrangères a adressé aux représentations étrangères et aux organisations internationales une note annonçant « un renforcement de la sécurité » à la frontière avec la bande de Gaza.
Soixante-quinze ans après être venu en aide à plus de 1 000 Juifs qui fuyaient un village de France occupé par l’Italie, Enzo Cavaglion, un Juif italien aujourd’hui âgé de 98 ans, a fait l’objet d’un hommage dans sa ville natale de Cuneo, dimanche.
Cavaglion a reçu la citation du sauveteur juif du centre mondial Bnai Brith de Jérusalem et de la Commission de reconnaissance de l’héroïsme des Juifs ayant sauvé d’autres Juifs durant la Shoah à son domicile, entouré de sa famille et de ses amis.
Il vit encore dans le même village que celui où il avait organisé son initiative de sauvetage en 1943.
Le président iranien Hassan Rohani a exprimé dans une lettre adressée au président syrien Bachar al-Assad la volonté de son pays d’aider à la reconstruction de la Syrie après la guerre civile, selon l’agence de presse iranienne Tasnim.« La République islamique d’Iran se tient aux côtés du pays et du peuple de Syrie et continuera à l’aider à se défendre contre les forces du mal et à rétablir la sécurité et la stabilité dans toute la République arabe syrienne », peut-on lire dans la lettre.
« Nous espérons assister rapidement à l’obtention d’une victoire finale », poursuivit Rohani.
Pour Israël, l’intervention des Etats-Unis et de ses alliés ne change pas la donne face à l’Iran.
C’est un message ambivalent qu’ont envoyé les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne en frappant, samedi 14 avril, plusieurs sites militaires et un centre de recherches soupçonnés d’héberger le programme chimique du régime syrien. Ces bombardements attestent de la détermination occidentale à faire respecter ses lignes rouges sur l’emploi d’armes chimiques contre les populations civiles, après l’attaque par le régime de Bachar Al Assad de la ville rebelle de Douma, dans la Ghouta orientale.
Le reporter Pierre Rehov s’attaque, dans une tribune, à la grille de lecture dominante dans les médias français des événements actuels à Gaza. Selon lui, la réponse d’Israël est proportionnée à la menace terroriste que représentent les agissements du Hamas.
Les organisations islamistes qui s’attaquent à Israël ont toujours eu le sens du vocabulaire dans leur communication avec l’Occident. Convaincus à juste titre que peu parmi nous sont capables, ou même intéressés, de décrypter leurs discours d’origine révélateur de leurs véritables intentions, ils nous arrosent depuis des décennies de concepts erronés, tout en puisant à la source de notre propre histoire les termes qui nous feront réagir dans le sens qui leur sera favorable. C’est ainsi que sont nés, au fil des ans, des terminologies acceptées par tous, y compris, il faut le dire, en Israël même.
« Ca ressemble à un pavé de mémoire aux victimes de la Shoah ! » « Certainement. »
La commune bruxelloise d’Ixelles s’exprime avec beaucoup de finesse, alors que Naïm Khader représentait l’OLP, un mouvement terroriste (voir la liste ci-dessous), et n’a jamais désavoué les attentats :« Considéré comme un modéré, ce Palestinien [Naïm Khader] a relayé, durant plus de 10 ans, les positions de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et défendu avec vigueur les droits du peuple palestinien. Plaidant pour la lutte armée afin de créer un rapport de forces, il condamnait en même temps les actes terroristes comme l’assassinat d’enfants juifs à Anvers en 1980 ou l’agression de la Synagogue de la rue Copernic à Paris. Il a été assassiné, en juin 1981, devant son domicile du n° 5 de la rue des Scarabées. »
L’histoire débute en 1993, au Yémen. T, une adolescente juive de 13 ans est mariée contre son gré à un homme de 20 ans. Après une première grossesse, des coups, des viols et une tentative de meurtre, la jeune femme se réfugie chez ses parents. Son mari se remarie avec une seconde femme avant d’exiger de “récupérer ” sa première femme. Sous la pression T, qui, a à peine 16 ans, cède. Cinq autres enfants naissent de cette union.
Après des années de violence et de souffrance, la jeune femme réussit à quitter le Yémen, sans ses enfants. Plusieurs mois plus tard, lors d’une opération spéciale menée par l’Agence juive, les Services israéliens, en échange de plusieurs milliers de dollars, la jeune-femme réussit à faire sortir ses six enfants du Yémen, d’abord aux Etats-Unis, ensuite en Israël.
Lorsque le président américain Donald Trump a pensé à reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël, les arguments contre elle étaient familiers - et avaient persuadé les présidents précédents. Le secrétaire d’Etat, Rex Tillerson à l’époque, a fait valoir que la réaction négative des Arabes serait grande, rapide et significative.
En l’occurrence, il n’y avait pas beaucoup de réaction arabe. Vous vous souvenez des émeutes et des grandes manifestations de Casablanca au Caire à Bagdad en passant par Jakarta ? Non, parce qu’il n’y en avait pas. La réaction des gouvernements arabes n’a pas non plus été très grande. Tous se sont opposés à la décision mais ont utilisé des mots comme injuste ou malheureux ou inutile, qui ne sont pas exactement des déclarations de guerre.
Le 70ème anniversaire de l’Etat d’Israël est pour les juifs du monde entier une source de joie, de fierté et d’espoir. Il est également pour chacun d’entre nous porteur de leçons de vie essentielles. En partant de rien, tout fut possible. L’instinct de survie permet de se dépasser et de vaincre toutes les menaces, aussi fortes soient-elles. L’intelligence, l’ouverture et la démocratie l’emportent toujours sur la haine, l’obscurantisme et la terreur. L’espérance mêlée à l’action permettent de bâtir l’avenir.
En 70 ans, Israël s’est construit, s’est développé et rayonne dans le monde.
En 70 ans, Israël a fait d’un désert aride une start-up nation où l’innovation et la recherche sont parmi les plus avancées au monde.
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